À la fin du xviiie siècle, Joseph Priestley et Antoine Lavoisier analysent l'air. Il faudra attendre le xxe siècle pour vérifier que l'air est le même partout, et plus encore, que nous partageons tous le même. L'augmentation des gaz à effet de serre dans l'atmosphère terrestre fut identifiée dans la deuxième moitié du xxe siècle ; en 1958, le U.S. Committee on Extension to the Standard Atmosphere publie la composition de celle-ci, avec une mise à jour en 1962 donnant 314 ppm de CO2, puis en 1976. Curieusement, ce comité ne remet pas à jour la valeur de la concentration du CO2, qui est pourtant la seule à avoir évolué.
Il serait hasardeux de dire en 2010 que la protection de l'environnement est un concept stabilisé ; en revanche, de nombreux aspects de ce domaine très vaste ont maintenant été travaillés depuis plusieurs décennies, et commencent à trouver une définition relativement stable.
Le principe pollueur-payeur a été mis en œuvre en France pour la première fois au travers de la Loi sur l'Eau du 16 décembre 1964 ("Loi relative au régime et à la répartition des eaux et à la lutte contre leur pollution"), qui institue une redevance de prélèvement et une redevance de pollution, respectivement proportionnelles au volume d'eau prélevée sur la ressource et à la masse des divers polluants contenus dans les eaux usées rejetées.
Le principe pollueur-payeur a été adopté par l'OCDE en 1972. Il figure dans l'Acte unique européen de 1986.
La protection de l'eau est l'effort humain de garder l'eau. Il faut garder l'équilibre écologique. Les océans et d'autres eaux sont touchées par la pollution. L'acidification des océans a lieu. Il peut être exclusivement attribué au CO². Les mers sont surexploitées, la dégradation de l'huile, la croissance du transport maritime et l'énergie sont des problèmes. La protection des espèces contribue à la protection de l'eau. Il faut éviter la sur-fertilisation. L'élimination du dioxyde de carbone dans l'eau de la mer doit être évitée. Mesures pour la fixation du CO² par la fertilisation sélective des surfaces de mer et augmentation artificielle de la production de biomasse associés doivent être évitée.
§ Prévention et contrôle des accidents et des incidents, par exemple, en utilisant la rétention d'eau.
§ Prévention de la pollution de l'eau en évitant l'utilisation de substances interférantes ou leur rétention à la source.
§ Gestion agricole adapté (prévention de l'érosion, par exemple, l'analyse du fumier et moins d'engrais et l'utilisation de pesticides).
§ Mesures pour l'élimination des eaux usées et de purification.
§ Élimination appropriée des déchets.
§ Observer les aires de conservation des plantes et des animaux au bord du lac/rivière
§ Garder propres les banques et les pentes
§ Ne pas gaspiller l'eau
§ Si possible, utiliser l'eau de pluie
§ Utiliser des détergents écologiques et les agents de nettoyage
§ Pas déverser d'huile ou de graisse dans l'eau
La protection des espèces est la protection des espèces végétales et des animaux. Les sceaux de la durabilité et la certification FSC (Forest Stewardship Council) pour les produits du bois ou du MSC (Marine Stewardship Council), l'étiquetage de la pêche ont le but d’assurer que les produits proviennent d'exploitation forestière ou de pêche durable, ou ont été cultivés sans produits chimiques et le génie génétique. La protection des espèces peut être aidée grâce à l'agriculture biologique à la place. Les installations de biogaz économisent le bois de chauffage. Braconnage met en danger de nombreuses espèces. La conservation peut être promue par l'utilisation responsable des eaux naturelles. L'eutrophisation effectue une diminution de la biodiversité. La CITES est une convention internationale sur la protection des espèces, qui est entré en vigueur en 1975. Elle interdit le braconnage et l'exportation des espèces. CITES comprend aussi des jaguars, des chimpanzés et des gorilles. La liste rouge de l'UICN des espèces menacées existe depuis 1963.
Mitigation climatique est le terme collectif pour les actions contre le réchauffement d'origine humaine globale et quels à atténuer ou prévenir les conséquences possibles.CO² et des autres gazes à effet de serre s'accumulent dans l'atmosphère. On développe des énergies renouvables afin que réduire les émissions à effet de serre. Energie solaire et l’énergie éolienne. La manipulation des conséquences du réchauffement de la terre fait partie de la protection du climat. On construit des digues. D’autres formes de la protection civile existent aussi. Les forêts tropicaux humides, les forêts boreaux, les landes et les tourbières sont importants pour le climat aussi. La politique pour le climat des pays développés est d’une importance capitale. Des efforts sont faits pour l'efficacité énergétique. Le Desertec est un projet, par lequel des centrale solaire thermodynamique centrales solaires dynamiques, des éoliennes et la conversion photovoltaîque d’énergie sera créé dans le Sahara.
La nutrition sans le bœuf est une mesure de la protection du climat, étant donné que l’élevage bovin contribue au réchauffement climatique par l’émission de méthane. Le transport est parmi les raisons principales de l’émission du CO². L’habitat passif est une maison à adduction de chaleur très basse. L’augmentation du transport publique contribue à la protection du climat.