Orthoépie. Traits essentiels de la norme phonétique du français moderne.
L'ensemble de règles de la prononciation standardisée, dite littéraire, à une époque donnée est étudié par une des branches de la phonétique nommée orthoépie(du grec: correct+discours) – le temr designe une brancghe de la phonetique qui etudie l’ensamble des regles de la pron correcte a une epoque donee.
Le rôle de l'orthoépie peut être comparé à celui de l'orthographe, l'une ayant trait à la langue parlée, l'autre - à la langue écrite. Il est nécessaire de respecter l'une et l'autre pour assurer la compréhension mutuelle. L’ort se divise en 2 parties : 1)la norme prescriptive(codifiee) – est l’ensamble des regles a suivre encarnes dans les manuels et les dictionnaires et associes a l’aide de prescription, de correcte ou incorrecte. 2) la norme objective(forme d’expr commune) – au plus grand nombre d’usages. c’est l’usage courant dans une communote ling
La norme orthoépique du français moderne a pour base la prononciation standardisée du nord de la France dont le centre est Paris. Cela s'explique par le rôle que le dialecte de l'Ile-de-Françe, le
francien, a joué dans la formation du français, langue nationale. La prononciation des autres régions de la France est considérée comme dialectale, non orthoépique.
Le bon usage est modoule par lui(Vaugelas) saur la prononciation des honnetes gens groupes autour du roi – les parisiens et l\aristocratie. A travers les siecles les regles ort du bon usage formules par Vaugelas, domaine priviligiee de la cour, de la haute bourgeoisie parisienne, restait en vigueur dans la LF. Toutes les autres variete de la popul qui ne correspondaoiut sa cette norme etait juges comme grave erreur, ridicule ou grocier. En presence on a plusieurs bon usages selon la situation de la communaute. Selon Sauvegeot les changements survenues dans la Fr lit epargnent la pronontiation moin que toute autres l’aspect de la langue.On est en presence non pas d’un seul bon usage mais de nombreux usages. La diversite de la pronntiation depand des facteurs stylistiques. Donc il est impossible aujourd’hui de parle la pronontiation standardise sans tenir compte des facteurs sociaux, regianaux ou stylistiques. Martinet pretend que en temps actuel le bon pron est celle qui passe inapercue, le mouvaise eat celle qui vous rappelle que votre introlocuteur est de telle origine internationalle, geograaphique ou sociale. Mais le temps de Vaugelat s’est passe, et le bon usage du fr mod n’est pas le meme.
Les voyelles :
: Le vocalisme inaccentué reste relativement invariable, les voyelles françaises ne perdant pas leur timbre dans la position atone, bien que leur caractéristique s'en ressente. Dans le fr moderne le es tendances evolutives des v sont ; l’attennetion de la distiction entre les timbres vocaliques et de nombreaux flottements dans la realisation des v . Ces part de distr concernebt l’opp ouverte-fermee, et a post a L predominance de la pron de e ouverte
E instable Selon Grammot le e inst se maintient regulierement dans le gr de 3 consonnes , quant 2 c le preccede. Cependant cette realisation depend de l’entourage et du ruthme de l’enonceLe e inst est supprime dans les f verbales suivies d’un monosyllabe qui presente une joncture externe, meme dans la pos finale des mots. Selon Leon – le e inst precede d’une seule c prononcee tombe gener quelle que soit sa position dans le gr ryth ; le e inst est prononce precede de plus d’une c prononcee, en posm initiale et mediale de gr rythm ; le e inst final precede de 2 c prononcee tombe ; en cas de plus e inst a la suite, on tend a garder le 1er et a supprimer le 2’ devant le h aspirer le e inst se maintient.
Le terme instable peut s’expliquer par le fait que le [ə] peut tomber(Je sais et J’sais) Plutôt il ya plusieurs différences régionales, contextuelles, individuelles(EU ouvert-seul, EU fermé ceux; à Paris – Je sais et Prends-le avec [ə] caduc dans Je et le [oe] ouvert dans le) et positionnelles(dans les préfixes devant une consonne redoublée, le s, pour éviter la prononciation du z -ressentir).
Tous les points de vue sur le statut de cette voyelle peuvent être classés de la façon suivante:
1)le [ə] instable constitue un phonème qui trouve sa place dans le système vocalique du fr. 2)le [ə] instable n’est pas considéré comme un phonème à part. 3)le [ə] instable jouit d’un statut particulier dans la phonologie du fr.
I.Les linguistes qui considèrent le [ə] instable comme un phonème indépendant on trouve G. Straka, K.Togeby, L. Scerba. On implique les oppositions du type [ə]- [œ], [ə]- [ø].Pourtant, ces oppositions ne sont pas convaincantes parce que on a les conditions différentes de la réalisation des voyelles qu’on suppose opposé : la voyelle [ə]se trouve inaccentuée, quand les phonèmes [œ] [ø] sont apte àporter un accent. Cependant, dans les opposions lexicales le [ə] instable/le zéro phonique(porte- porté, l’être – le hêtre l’eau- le haut, le les) le [ə] instable joue un rôle phonologique évident. On observe la neutralisation de cette opposition dans la langage courante(ferons, pelisse) et maintenance dans le vocabulaire d’emploi rare(pelage, belon). Et bien grâce à son alternance avec le zéro phonique Scerba attribue au [ə] le statut de phonème indépendant par rapport au phonème [œ] qui présent toujours dans le mot. Quoique cette idée soie contestable parce que l’alternance du [ə] instable /le zéro phonique ne contribue pas au changement du sens et les réalisations du phonème [œ] opposé au [ə] ne sont pas stable
II.N. Chigarevskaïa estime que le [ə] instable est une variante du phonème [œ] en syllabe ouverte non accentuée. Il faut noter le timbre de ce son. Plusieurs linguistes considèrent ce son comme un son intermédiaire entre le [œ] et le [ø] , les autre le décrivent comme un son [œ] ouvert, bref, moins intense et tendu. Mais finalement, les observation s articulatoires montre que le [ə] instable ne peut pas être considéré comme un simple variante des phonèmes [œ] et [ø]. La réalisation du [ə] instable est considérée comme une voyelle neutre ou centrale avec un timbre un peut délabialisé proche du [ε].
III. le [ə] instable constitue une unité exceptionnelle dans le système phonologique en basant sur sa réalisation phonétique et son fonctionnement bien particulier. On le attribue la possibilité à revendiquer les fonctions prosodiques, délimitatives, stylistiques, distinctive.
Les consonnes – le cons ne subit grands changements/ Le maintien ndes opp cons dans differentes positions, meme a la fin du mot la realisation du timbre cons depuis l’epoque de la form fr l nation reste en vigueure de nos jours.Le timbre des consonnes sonores ne change pas considérablement à la fin absolue du mot.
Ces consonnes gardent leur caractère sonore à la fin du mot : limonade Les consonnes du français sont peu sujettes à l'assimilation. Suivies de voyelles antérieures, elles restent plutôt dures, elles ne se mouillent pas facilement, ce qui devient évident, dès qu'on les compare aux consonnes russes dans la même position.