Les envies et les désirs des jeunes.

Mariage ou concubinage?

Les dernières années on constate une progression constante du concubinage. Le concubinage, comme divorce, dessine les nouveaux modèles matrimoniaux.

Dès années 1990, le niveau de marriages enregistrés est devenu le plus baas jamais atteint ( 265000 ) ce qui a fait la France une championne du “ non – marriage ”.

D’ après le sondage, fait par la SOFRES ( Société française d’ etudes par sondages ) pour Le Figaro Magazine, 50% des français éstimaient que le marriage est “ tout à fait indispensable à l’ épanouissement d’un couple”.

Quand à reaction des Français à l’égard du concubinage, 58% trouvaient normal qu’ “ un garcon et une fille décident de vivre ensemble sans se marier”.

De fait, l’acceptation du concubinage a augmenté parallèlement au concubinage lui – même. Il reste environ 12 millions de couples maries, mais le pourcentage des couples non – marié atteint 20%, en comparaison avec 5% en 1976.

D’ailleur, 87% des jeunes considérent l’union libre comme normale. Celle – ci progresse dans tous les milieu, mais reste essentiellement le phenomena urbain don’t la fréquence est élevéу chez les employés, les cadres supérieurs et les professions libérales.

Plusieurs raisons expliquent le success croissant de cette “ formule ”, que les démogpaphes appellant aussi “ cohabitation hors marriage ”. En premier lieu c’est le développement de contraception qui permet à de nombreux couples de ne plus “ être oblige ” de se marier. On peut citer ensuite l’extention du travail feminine qui rend les femmes plus indispensable. Certains jeunes croient que le mariage est une “ formalité inutile ”, voire d’ “ hypocrisie sociale ” .

Cependant, les couples non maries n’ont pas d’existence juridique, ce qui n’est pas sans consequence en cas de conflit. Les mairies peuvent toutefois délivrer un “ certificate de concubinage ” ou une “ attestation d’ union libre ”. Ces documents permettent aux concubins d’ obtenir le statut du couple “ légitime ” vis – à- vis des organisms sociaux.

Les envies et les désirs des jeunes.

Dans la societé moderne, l’incompréhention générationnelle reine: les jeunes sont très realists, ils veulent créer des petits mondes à eux, en utilisant les moyens technologiques que sont Internet mais aussi l’ univer des marques et des codes.

Le téléphone mobile figure en tête des conflits financiers. Les ados sont pour beaucoup dans la forte consummation en téléphonie mobile. Aujourd’hui un jeune sur deux possède son propre portable. Il devient un outil central de leur correspondence, il n’est pas côntrolable per les parents. Il permet à l’adolescent de transporter avec lui tout ce qu’il compte dans sa vie: le lien direct avec les amis, la musique avec les lecteurs MP3, les jeux video, les achats en ligne etc.

En plus de ça les vêtements, les loisirs, les vacances suscitent entres autres, d’incessantes polémiques. La marque devient le fragment culturel, voire la philosophie de l’ado.

Le problème essentiel c’est que toutes les familles n’ont pas les moyens de suivre le rhytme des besoins matériels de leurs enfants et ils manquent très souvent de courage pour dire non.

Il faut dire que l’exercice est délicat quand on sait qu’un adolescent assimile l’autorité parentale à un exercice tyrannique. Le non est donc toujours structurant que oui. Le s ados ont besoin de rencontrer des anomalies, de se fronter à des risqué pour grandir. Sinon, ils peuvent être tenté de se révolter contre cette vie trop facile et trop trace.

Il faut souligner que les parents refusent pourtant le conflit. Pour préserver une qualité relationnelle avec leurs enfants, ils se positionnent comme des amis. Pourtant, tout offrir à ses enfants, c’est émousser les sentiments de joie et de peine indispensable à la réalization de l’individu.

Il ne faut pas oublier que les pédopsychiatres insistent sur la nécessité de toujours donner des motifs à un refus. En tout cas, ne doivent pas devenir l’instrument des désirs de leurs enfants!

Date: 2016-03-03; view: 882