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Usage littéraire

Certains auteurs, tel que Phil Marso, ont écrit des romans en langage SMS.

La fondation d'entreprise Bouygues Telecom a organisé en 2008, un concours « Premier roman SMS » primant une « œuvre de fiction inédite, écrite en langue française, et dont le langage SMS et des messageries instantanées constitue un élément déterminant de la trame narrative »8. Sur le modèle du roman épistolaire, on trouve en effet aujourd'hui des romans dont la narration est constituée d'échanges de SMS. L'utilisation du langage SMS devient un élément de réalisme.

La sémantique de lol

Article détaillé : LOL (argot internet).

Sur les autres projets Wikimedia :

· « lol », sur le Wiktionnaire(dictionnaire universel)

lol, acronyme de l'expression anglaise laughing out loud (l'équivalent en français de « rire aux éclats » ou encore « rire à gorge déployée » ou, littéralement, « rire à haute voix »), est une interjection destinée à marquer le rire et l'amusement de son utilisateur. Il peut être remplacé par « je trouve cela drôle » ou « comme tu es amusant » ou par mdr signifiant « mort de rire ». Il peut être utilisé simplement pour souligner un fait cocasse, sans que cela ne fasse réellement rire.

Notes et références↑ Les handicapés du clavier [archive]

1. ↑ Pour une comparaison des pratiques orthographiques en français en situation de clavardage (IRC) chez les adolescents et les adultes, voir l'étude d'Anaïs Tatossian [archive] de l'Université de Montréal :http://epjb.edpsciences.org/articles/cmlf/pdf/2008/01/cmlf08012.pdf [archive]. Consulté le 21 février 2010.

2. ↑ Pa SAge a TaBa et Frayeur SMS de Phil Marso.

3. ↑ Fairon, Klein et Paumier, de l'Université catholique de Louvain (Louvain-la-Neuve), « Faites don de vos SMS à la science ! ;-) [archive] », www.smspourlascience.be. Consulté le 12 décembre 2008.

4. ↑ sms4science [archive]. Consulté le 12 décembre 2008

5. ↑ Comité de lutte contre le langage sms et les fautes volontaires sur Internet, « Page d'accueil [archive] », sms.informatiquefrance.com. Consulté le 15 novembre 2007

6. ↑ Le Figaro, 19 mai 2008

7. ↑ http://www.bonnesnouvelles.net/premierromansms.htm [archive]

Présentation des feuilles de style

 

Le concept de feuilles de style est apparu en 1996 avec la publication par le W3C d'une nouvelle recommandation intitulée « Cascading StyleSheets » (feuilles de style en cascade), notée CSS.

Le principe des feuilles de style consiste à regrouper dans un même document des caractéristiques de mise en forme associées à des groupes d'éléments. Il suffit de définir par un nom un ensemble de définitions et de caractéristiques de mise en forme, et de l'appeler pour l'appliquer à un texte. Il est ainsi possible de créer un groupe de titres en police Arial, de couleur verte et en italique.



Les feuilles de style ont été mises au point afin de compenser les manques du langage HTML en ce qui concerne la mise en page et la présentation. En effet, le HTML offre un certain nombre de balises permettant de mettre en page et de définir le style d'un texte, toutefois chaque élément possède son propre style, indépendamment des éléments qui l'entourent. Grâce aux feuilles de style, lorsque la charte graphique d'un site composé de plusieurs centaines de pages web doit être changée, il suffit de modifier la définition des feuilles de style en un seul endroit pour changer l'apparence du site tout entier !

Elles sont appellées « feuilles de style en cascade » (en anglais « Cascading Style Sheets ») car il est possible d'en définir plusieurs et que les styles peuvent être hérités en cascade.

Les feuilles de style permettent notamment :

· d'obtenir une présentation homogène sur tout un site en faisant appel sur toutes les pages à une même définition de style ;

· de permettre le changement de l'aspect d'un site complet entier par la seule modification de quelques lignes ;

· une plus grande lisibilité du HTML, car les styles sont définis à part ;

· des chargements de page plus rapides, pour les mêmes raisons que précédemment ;

· un positionnement plus rigoureux des éléments.

 

CSS 2.0

Depuis le 12 mai 1998, la norme CSS 2.0 est le standard en vigueur. La norme CSS2 apporte un grand nombre de nouvelles fonctionnalités par rapport à la précédente norme (1.0), parmi lesquelles :

· La prise en compte de la diversité de médias (écran, imprimante, braille, synthétiseur vocal, etc.) ;

· L'ajout de propriétés auditives pour les aveugles et malvoyants ;

· La manipulation de curseurs ;

· La gestion des débordements et de la visibilité des éléments.

 

La compatibilité des navigateurs

Malgré l'existence de recommandations du W3C, les feuilles de style ne sont pas reconnues de la même façon par tous les navigateurs. Le premier navigateur à avoir intégré les feuilles de style est Microsoft Internet Explorer 3.0, puis l'utilisation des feuilles de style s'est généralisée avec les versions 4.0 et supérieures d'Internet Explorer et de Netscape Navigator.

Navigateurs supportant les feuilles de style :

· Microsoft Internet Explorer 3.0 (partiellement)

· Microsoft Internet Explorer 4.x

· Microsoft Internet Explorer 5.x

· Microsoft Internet Explorer 6.x

· Netscape Navigator 4.x

· Netscape Navigator 6.x

· Netscape Navigator 7.x

· Mozilla x.x

· Firefox x.x

· Opera 5.x

· Opera 6.x

· Opera 7.x

· Camino 0.8x

· Safari 1.xx

· Accueil du site

· > Technologies

· > Transmission

 

Caractéristiques des systèmes de communicationexistants

Les systèmes de communicationsactuellement utilisés pour les STI présentent les caractéristiques principales suivantes :

· des moyens de transmission traditionnels par câbles filaires ou à fibres optiques sont généralement utilisés pour raccorder des capteurs implantés au sein de l’infrastructure de transport (par exemple, des boucles électromagnétiques ou des caméras). Si ces moyens n’existent pas, les coûts de pose de câbles étant souvent très élevés, ils peuvent alors être avantageusement remplacés par des moyens de transmission sans fil, soit par le biais de raccordements à un réseau de téléphonie mobile (abonnements de type GPRS ou 3G auprès d’un opérateur), qui est lui-même interconnecté au réseau internet pour permettre les échanges avec les centres de données de trafic, soit par des moyens radioélectriques dédiés.

· En fonction des technologies de transmission sans fil, les moyens radioélectriques dédiés peuvent permettre des liaisons à courte portée jusqu’à 1000 m environ (solutions radioélectriques dans les bandes libres sans licence à 433 MHz, 870 MHz, 2,4 GHz ou 5,4GHz) ou des liaisons à plus longue portée, pouvant atteindre de l’ordre de 10 Kms (faisceaux hertziens sous licence ou liaisons WiFi directives sans licence à 5,4 GHz).

· Les opérateurs d’infrastructures de transport disposent généralement d’un réseau radioélectrique dédié pour leurs besoins de communications avec leurs personnels d’intervention, notamment en situation de crise (réseaux de type PMR - en France, bande des 40 MHz réservée pour les services d’exploitation routière). Ces réseaux peuvent servir à échanger de manière automatique des données avec les centres de gestion de trafic. L’arrivée sur le marché des technologies numériques (DMR renforcera l’efficacité du service d’échange de données.

· Les usagers en situation de mobilité ainsi que les véhicules sont de plus en plus souvent équipés d’un terminal portable (ou d’un boîtier de communication intégré au véhicule), qui est connecté à un réseau de téléphonie mobile et abonné à un service d’accès internet illimité.

· Les débits de communication varient en fonction des supports de transmission utilisés (de quelques kbit/s à quelques Mbit/s). Ces débits ne sont pas en général garantis par les opérateurs de télécommunications et ils peuvent devenir nuls en cas de saturation de leurs réseaux (notamment en situation de crise). C’est pourquoi les opérateurs d’infrastructures de transport privilégient des solutions de transmission leur apportant des garanties de débit et de disponibilité pour relier leurs équipements de terrain.

· Les protocoles de communication des systèmes de STI s’appuient désormais pour l’essentiel sur les protocoles IP (Internet Protocol) et Ethernet, les protocoles standards des réseaux informatiques et de l’internet.

· Les liaisons de communications, et l’ensemble des éléments les composant, doivent être sécurisées contre les risques d’intrusions, quelle que soit leur origine : internet, intranet, réseaux d’opérateurs ou réseaux de terrain. C’est particulièrement important pour les équipements de signalisation (panneaux à messages variables, barrières, etc) et leurs systèmes de pilotage, afin d’éviter des commandes de pilotage non souhaitées, ou pour les systèmes de vidéo-surveillance, afin d’éviter des publications incontrôlées de séquences vidéo sur internet. C’est également le cas, mais dans une moindre importance, pour les autres équipements, et ce afin d’éviter un "déni de service".

Communication virtuelle

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La communication virtuelle, aussi appelée communication médiée par ordinateur, cybercommunication ou netspeak est une forme de communication textuelle utilisant des dispositifs numériques comme transmetteur et médiateur. Elle est utilisée notamment dans les SMS, la messagerie instantanée, les forums, les jeux en lignes multijoueurs, le courrier électronique et le Web1.

Ce type de communication, apparu dans les années 1980, a connu une croissance très rapide dès le milieu des années 1990. Techniquement réalisée par écrit, cette communication est considérée comme communication orale par écrit ou écrite, selon les cas1. La pratique régulière, aidée par de nouveaux outils informatique, est à l'origine de l'apparition de communautés de praticants, de nouvelles règles de politesse, de formes d'argot, ainsi que de nouvelles pratiques de fraude et d'incivilité.

Les usages et leur discours

Il n'existe pas de différence claire entre un discours parlé et écrit. Toutefois il y a des styles de discours qui sont plus courant dans les publications écrites et d'autres qui sont typiques de la conversation par oral. La communication virtuelle est à l'origine de nouveaux types de discours, à l'instar du discours légal, religieux, ou scientifique et des télégrammes, le discours par courrier électronique ou par messagerie instantanée possède son propre style et son jargon, le netspeak.

Dans une publication par écrit le rédacteur consacre du temps à préparer le texte, le relire, choisir les mots et corriger l'orthographe. Puis le texte sera mis à disposition de lecteurs de tout horizons, que le rédacteur ne connait pas. La durée de vie du texte est longue, le discours est typiquement impersonnel, concis et formalisé, l'emphase est assurée par le choix du vocabulaire et de la ponctuation.

L'implication est une caractéristique de la conversation orale, le locuteur vérifie constamment que son auditeur à compris le message, fait usage d'empathie et parle de lui. Le discours oral se fait dans un contexte de face-à-face, est adapté au contexte, aux locuteurs à la date et au lieu de la conversation. Le discours résultant est personnel, spontané, elliptique, allusif et informel. L'emphase est assurée par le ton de la voix et la communication non verbale2.


Date: 2016-01-14; view: 892


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