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Leur rapport longueur / diamètre est-il important ?

Quel est l’angle réel des aimants par rapport au rayon du système ?

Le chemisage par écran magnétique protecteur est-il indispensable ?

Comment faire pour que le système ne devienne pas un "moteur pas-à-pas" ?

 

Et tellement d’autres…

 

Tentons d’apporter des réponses pouvant permettre la réalisation d’un prototype qui soit modifiable de manière à être propice à l’étude.

Attraction ou Répulsion ? Partons du principe que le brevet déposé par les inventeurs soit viable, nous choisirons donc la répulsion en premier lieu. Nous veillerons à ce qu’il soit toujours mécaniquement possible d’inverser plus tard la polarité les aimants du rotor ou du stator pour tester la seconde possibilité.

Le nombre réel d’aimants ? Après étude et redressement des photos, il semble qu’il y ait 36 aimants sur le rotor. Aussi, probablement 36 logements ou trous (pas aimants) sur le stator.

Nombre d’aimants identique sur le rotor et le stator ? Impossible de tirer des conclusions certaines en analysant les documents disponibles. Il semble néanmoins que si le rotor comporte bien 36 aimants, les 36 trous du stator ne sont pas tous équipés d’aimants. On parle même de relaxation magnétique ! (C’est de l’humour pour chercheurs, sans doute… ;-)

La répartition des aimants sur le stator ? Si certains logements ne sont pas équipés, c’est qu’il doit être nécessaire de réaliser un rythme dans les interactions magnétiques. C’est certainement là un point épineux qui ne peut se résoudre que par les tests. Il est impossible de définir avec certitude les intervalles sur les documents disponibles. Voir plus haut la vue théorique des flux magnétiques.

Le rapport longueur / diamètre ? Il semble évident que plus les faces Nord et Sud de chaque aimant seront proches, plus la confusion des champs magnétiques contigus augmentera… et ceux-ci se perturberont les uns les autres. Donc un rapport de longueur/diamètre de 2 semble un minimum.

Nous constaterons en fait que c’est un compromis entre l’inclinaison de l’angle de l’aimant sur le rayon du système et sa taille. Il suffit de dessiner cela. Plus l’aimant sera long et moins on pourra l’incliner, donc réduction de l’action magnétique tangentielle et perte de puissance du système…

 

L’angle réel des aimants par rapport au rayon ? Si l’on prend comme valeur un rapport longueur / diamètre de l’aimant égal à 2 environ, il est mécaniquement difficile de l’incliner au-delà de 24°. Le brevet, très vague, préconise entre 18 et 32°.



L’écran magnétique autour des aimants ? Certainement indispensable si l’on veut obtenir une action magnétique franche et cohérente à la section opérante de chaque aimant. Le "mumétal", rare et cher, est le plus apte à canaliser les champs magnétiques, évitant ainsi la dispersion des flux.

Dans notre monde physique local, tout mouvement tend vers l’équilibre et le repos. La pierre lancée retombera au sol, la balançoire se figera sagement, la pile se videra, et vous dormirez. De même, les aimants permanents chercheront toujours la position équilibrée la plus confortable. Montés en mode répulsif, ils s’intercaleront pour subir le moins de contrainte possible. En mode attractif, les faces opérantes des aimants se caleront en vis-à-vis…


Date: 2016-01-14; view: 660


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Sur les prototypes 1 et 2 le rotor est équipé d’aimants qui, repoussés ou attirés par les aimants du stator, se met en rotation. | Alors ?... Mouvement impossible ?
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