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La butte Montmartre et la Villette

PROJET

UNE SEMAINE A PARIS

Egrave;me journée

La butte Montmartre et la Villette

La butte Montmartre La vue sur Montmartre de Notre-Dame   La Place du Tertre   Le cabaret Lapin Agile Le Moulin de la Galette     Les vignes de Montmartre   Le funiculaire de Montmartre   Le Passe-muraille   La butte Montmartre –la Butte est devenue le mont les Martyrs : St Denis, l'archiprêtre Rustique et archidiacre Éleuthère y auraient été décapités vers 250. C'est alors que Denis ramasse sa tête, et se dirige vers le Nord jusqu'au lieu qui deviendra Saint-Denis. Un village dans la grande ville, un vrai village, avec son syndicat d'initiative, ses petites rues et son arpent de vigne… Un village, où, de tout temps, les peintres et portraitistes ont élu domicile à l’abri de l’immense dôme du Sacré-Cœur. De la terrasse on peut admirer le panorama de Paris sur un rayon de 30 km par temps clair. Tout au long du 19e s., des artistes, des hommes de lettres sont attirés par la vie pittoresque et libre sur la Butte. La plus célèbre place des Montmartre est la place du Tertre,place à une foule cosmopolite qui prend le soleil aux terrasses des cafés ou se bouscule entre les artistes qui proposent leurs scènes montmartroises ou font des portraits de ceux qui en veulent. Lors de la visite de Montmartre il ne faut pas manquer de voir ou de visiter ou au moins voir de l’extérieur : · les salles de spectacles du boulevard de Rochechouart : La Cigale, l'Élysée-Montmartre, Le Trianon, la Boule Noire, inspirées des cabarets du XIXe siècle, · les cabarets Le Chat noir et le Lapin Agile fréquentés par de nombreux artistes français au début du XXe siècle, Le Lapin Agile est un cabaret de Paris situé sur la butte Montmartre au 4 de la rue des Saules. Établi dans la seconde moitié du XIXe siècle, racheté par Aristide Bruant en 1913, il fut l'un des lieux de rencontre privilégiés de la bohème artistique du début du XXe siècle, de Max Jacob à Pablo Picasso en passant par Roland Dorgelès, Francis Carco ou Pierre Mac Orlan. Il est encore aujourd'hui en activité. C'est dans la partie haute de Montmartre qu'est construit en 1795 le bâtiment qui devient, aux alentours de 1860, une auberge baptisée Au Rendez-vous des voleurs. À partir de 1869, il prend le nom de Cabaret des Assassins, parce que sont accrochées au mur des gravures représentant des assassins célèbres, de Ravaillac à Troppmann. Entre 1879 et 1880, le propriétaire de l'époque confie au caricaturiste André Gill, familier des lieux, la confection d'une enseigne ; celui-ci peint un lapin vêtu d'une redingote verte et d'une écharpe rouge s'échappant de la marmite qui lui était destinée : le cabaret devient alors connu sous le nom de lapin à Gill, bientôt transformé en lapin Agile. En septembre 1883 le goguettier, poète et chansonnier montmartrois Jules Jouy fonde le banquet-goguette La Soupe et le Bœuf qui se réunit au Cabaret des Assassins. Racheté en 1886 par une ancienne danseuse de cancan, Adèle Decerf (surnommée « la mère Adèle »), celle-ci, après s'être débarrassée de la partie la plus douteuse de sa clientèle, en fait un café-restaurant-concert baptisé À ma campagne, que fréquentent pendant la journée les habitués du Chat Noir. Au début du XXe siècle, « la mère Adèle » revend le cabaret à Berthe Sébource, qui s'y installe en compagnie de sa fille, Marguerite Luc (surnommée « Margot », et future épouse de Pierre Mac Orlan.) Elles sont rejointes en 1903 par Frédéric Gérard (1860-1938), dit « le père Frédé », grâce à qui le Lapin Agile va devenir un lieu incontournable de la bohème artistique montmartroise. Lorsqu'il emménage au Lapin Agile, il garde avec lui son singe, son chien, son corbeau, ses souris blanches, ainsi que son âne, avec lequel il vend du poisson dans les rues de Montmartre, afin de compléter ses revenus. Figure pittoresque de la vie montmartroise, avec « sa tenue qui tenait de Robinson Crusoé, « Frédé » chantait des romances sentimentales ou des chansons réalistes en s'accompagnant au violoncelle ou à la guitare, dont il jouait avec un talent qui ne faisait pas l'unanimité. Surtout, il n'hésitait pas à offrir des repas et des boissons dans son cabaret aux artistes désargentés, en échange d'une chanson, d'un tableau ou d'un poème. Aristide Bruant, toujours client régulier du Lapin Agile, se lie d'amitié avec le tenancier, et lorsque le bâtiment est promis à la démolition en 1913, il le rachète et laisse « Frédé » en assurer la gérance. En 1922, Aristide Bruant revend le cabaret à « Paulo », le fils de Frédéric Gérard à qui il a enseigné le chant. En 1972, Paulo Gérard cède la gestion du cabaret à son beau-fils Yves Mathieu qui en est toujours le propriétaire : des « veillées » y sont encore organisées, au cours desquelles se produisent chanteurs et humoristes. · le Moulin de la Galette, qui est le seul moulin à vent en état de marche de la butte Montmartre dans le 18e arrondissement de Paris. Il est visible depuis la rue Lepic. Aujourd'hui intégré à une résidence privée il est inaccessible au public. Le moulin de la galette est en réalité constitué de deux moulins : le « Blute-fin » et le « Radet». Le nom de « moulin de la galette » est mentionné pour la première fois en 1622 sous le nom de « moulin du palais ». La famille Debray acquiert les deux moulins en 1809 et y produit de la farine. Au début du XIXe siècle, en 1810, on dénombre à Montmartre seize bals "régis" c'est-à-dire autorisés, pouvant annoncer leur ouverture, et quantité d'autres bals ou guinguettes. Ils sont ouverts les dimanches, lundis et jours fériés. A cette époque, la commune de Montmartre n'est pas encore rattachée à la capitale : le Mur des Fermiers Généraux forme une frontière entre la ville et la commune de Montmartre. Pour les Parisiens, la Butte est un coin de campagne où poussent des vignes, avec des coins ombragés et où jaillissent des nombreuses sources. En 1834, l'un des fils de la famille Debray, propriétaire des moulins le Radetet le Blute-Fin, guéri de sa blessure suite à un coup de lance reçu en 1814 lors de la Défense de Paris, ouvre une guinguette près du Radet. On y déguste des galettes, confectionnées par sa femme, accompagnées d'un vin aigrelet cultivé sur les flancs de la Butte. Le succès est immédiat et la clientèle populaire. La création de la rue Lepic permet d'accéder plus facilement au haut de la Butte en évitant d'emprunter les chemins boueux très mal entretenus. Au cours des années le bal se transforme. De bal en plein-air, il devient une grande salle fermée. A l'extérieur de celle-ci se trouvent les jeux, les escarpolettes. Dès le début du XIXe siècle les deux moulins, le Radet puis le Blute-Fin, ont été peints sous le même nom de Moulin de la galette : Huguet, le « Rembrandt des moulins à vent », Jean-Baptiste Corot, et Toulouse-Lautrec peignent le Radet. Auguste Renoir immortalise la célèbre guinguette située entre les deux moulins dans son Bal du moulin de la galette (Voir Le musée d’Orsay). C'est la silhouette du Blute-Fin qui apparaît dans le Moulin de la galette de Picasso. · le cabaret de Patachou, cabaret le plus célèbre de Paris dans les années 1950/60, où débuta Georges Brassens et où Édith Piaf chanta pour la dernière fois en public. · l’Espace Dali, musée consacré aux œuvres de l’artiste surréaliste, · la maison de Dalida, rue d'Orchampt et la place Dalida, · la célèbre et très chantée rue Lepic avec son café Les Deux Moulinsrendu célèbre autour du monde par le film le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain, · rue Saint-Vincent, la vigne de Montmartre, le plus connu des vignobles de Paris (il y en a d'autres, notamment dans le parc Georges-Brassens dans le 15e arrondissement). Son vin est vendu assez cher ; le gain sert à soutenir des institutions sociales. Il est surplombé par de beaux bâtiments années 20. la Fête des vendanges de Montmartre, qui rassemble plus de 500 000 personnes, le premier week-end d'octobre, chaque année · le funiculaire de Montmartre, implanté entre les places Saint-Pierre et Suzanne-Valadon pour la station basse, et la rue du Cardinal-Dubois pour la station haute, permet de relier deux quartiers emblématiques de la capitale : Pigalle et Montmartre. Ce moyen de transport, qui fait aujourd’hui partie intégrante du paysage de la butte, a été inauguré en 1900. Il longe la rue Foyatier qui présente un escalier de plus de 220 marches. Le funiculaire a été une nouvelle fois modernisé en 1991. De nouvelles stations ont été construites d’après les dessins de l'architecte François Deslaugiers. Le nouveau funiculaire, construit par Pomagalski, utilise la technologie d'un ascenseur incliné à traction électrique et n'est donc plus un funiculaire au sens propre. Il est équipé de deux cabines de soixante places. Chaque cabine pèse six tonnes à vide et dix tonnes à pleine charge. Il gravit aujourd'hui les 36 mètres de dénivelé en moins d'une minute trente. Il transporte en moyenne 6000 personnes par jour, soit environ deux millions de passagers par an. · la place Émile-Goudeau, où le Bateau-Lavoir accueillit de grands peintres. · La place Marcel Aymé à Montmartre, où l’on peut voir la statue réalisée par Jean Marais, rendant hommage à l'auteur (qui a vécu rue Norvins) et à la nouvelle Le passe-muraille qui raconte l'histoire d'un modeste employé d'administration qui se découvre la possibilité de passer à travers les murs. Il utilise alors son don pour commettre des vols ou se venger d'humiliations, jusqu'au jour où il perd son pouvoir et reste bloqué à l'intérieur d'un mur.  
Le Sacré-Cœur Sa haute silhouette fait partie du paysage parisien. Ses coupoles sont dominées par le dôme et le campanile de 80 m. Dans le Campanile, la Savoyarde est une des plus grosses cloches connues (19 tonnes). L'intérieur, très sombre, est décoré de mosaïques. Le projet de construction de la basilique du Sacré-Cœur trouve ses origines dans le discours prononcé par Monseigneur Fournier le 4 septembre 1870, jour de la déclaration de la Troisième République, attribuant la défaite de la France dans la guerre franco-prussienne de 1870 à une punition divine après un siècle de déchéance morale depuis la révolution de 1789. Suite à ce discours, deux notables parisiens, Alexandre Legentil et Rohault de Fleury, entamèrent les démarches qui devaient aboutir à la réalisation de la basilique du Sacré-Cœur plusieurs décennies plus tard. En 1873, le comité de l'Œuvre du Vœu National et le cardinal de Paris décident que le choix de l'architecte se fera par concours. À cet effet, un programme est rédigé à l'intention des candidats. Certains éléments sont imposés : le site, un budget limité à sept millions de francs, une crypte, une statue monumentale du Sacré-Cœur très visible et placée à l'extérieur. L'architecte Paul Abadie (mort en 1884) gagne le concours de la construction du Sacré-Cœur. La basilique a été majoritairement financée par de très nombreux Français dans le cadre d'une souscription nationale où il n'est pas demandé au fidèle de verser une somme importante mais ce qui lui est possible. Au total, près de quarante-six millions de francs sont récoltés en un demi-siècle par les dons de près de dix millions de fidèles. La première pierre est posée le 16 juin 1875. L'intérieur de la nef sera inauguré en 1891, le campanile (clocher) ne sera terminé qu'en 1912. Toutefois la basilique n'est achevée qu'en 1914 et consacrée en 1919, après la fin de la Première Guerre mondiale. Il faudra même attendre 1923 pour l'achèvement de la décoration intérieure. Depuis plus d'un siècle, les fidèles y assurent jour et nuit le relais ininterrompu de l'adoration perpétuelle.
Les Abbesses La Place des Abbesses La rue des Abbesses La place des Abbesses est typique de l'ambiance de Montmartre avec ses allures de village : fontaine Wallace, platanes, station de métro Art Nouveau, square. Au centre de la place, la bouche de métro est une des rares marquises conçues par l'architecte Guimard dans un style Art Nouveau, très en vogue à la Belle Epoque. Le lieu est un repère de cafés agréables et de boutiques de vêtements. Il y a toujours du monde, été comme hiver. La place à la faveur des rendez-vous des bobos parisiens. Elle tient son nom des "abbesses", les bénédictines qui s'installèrent autour du Sanctum Martyrium. Au nord, se trouvait l'ancienne mairie de Montmartre où Verlaine se maria en 1870 et Clemenceau fut consacré maire. De l'autre côté, l'église Saint-Jean-de-Montmartre est le premier édifice religieux construit en béton armé (1904).
La Place Pigalle La place Pigalle –Épicentre du royaume de la nuit, Pigalle appartient à ces lieux universellement connus et pourtant sans monument. La foule cosmopolite qui va et vient ici n'est éclairée que par les néons des cabarets et des boîtes de nuit, des bars et des sex-shops. Naguère authentique lieu de fête, Pigalle croule aujourd'hui sous l'artifice, mais, comme tous les lieux mythiques, il attire toujours autant de monde... Le boulevard Clichy -Entrecoupé par la place Blanche et la place Pigalle, il est le pôle d'attraction du quartier dès la nuit tombée. À côté d'un nombre croissant de sex-shops et de cars de touristes, le théâtre des Deux-Ânes perpétue la tradition parisienne des chansonniers tandis qu'en face la chapelle Sainte-Rita est très fréquentée pour les causes désespérées.
La Place Blanche et la Moulin Rouge La Place Blanche et Le Moulin Rouge -Si elle est Blanche c'est pour ses anciennes carrières de plâtre. On y voit un moulin qui n'a jamais moulu de farine : ce Moulin-Rouge, fondé en 1889, où les bourgeois et la bohème de Montmartre venaient applaudir Yvette Guilbert, Valentin le Désossé, puis plus tard Maurice Chevalier et Joséphine Baker. Sa revue entretient aujourd'hui, avec celles du Lido et des Folies-Bergère, la tradition des dîners-spectacles d'un music-hall à la fois léger et sophistiqué.
Le marché aux Puces Le marché aux puces de Saint-Ouen est la plus importante concentration d'antiquaires et de brocanteurs du monde, soit le plus grand marché mondial. Il se tient tous les samedis, dimanches et lundis et est desservi par le métro "Porte de Clignancourt" (ligne 4);ainsi que par bus du fait de cette fréquence élevée, il n'est plus depuis longtemps constitué que de professionnels louant leur emplacement avec des baux d'une durée minimale de 3-6-9 ans. En marge du marché d'antiquités, de foisonnants commerces de vêtements et d'articles de fantaisie occupent les rues environnantes. On y croise beaucoup de touristes étrangers et même très souvent des célébrités. Le Marché de Saint-Ouen/Clignancourt est le plus grand marchés aux puces du monde, totalisant près de 11 millions de visiteurs par an. Ce marché est également le terrain de ventes de certains "vendeurs à la sauvette". Il compte plusieurs marchés, dont le marché Biron, le marché Vernaison, le marché Malik, le marché Paul-Bert, le marché Serpette, le marché Dauphine...
La cité des Sciences de la Villette La Cité des sciences et de l’industrie est un établissement spécialisé dans la diffusion de la culture scientifique et technique. Créée à l'initiative du Président Giscard d'Estaing, elle a pour mission de diffuser à un large public, notamment aux enfants et aux adolescents, les connaissances scientifiques et techniques, ainsi que de susciter l'intérêt des citoyens pour les enjeux de société liés à la science, à la recherche et à l'industrie. Avec la Cité de la musique et Le Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, elle fait partie du parc de la Villette au niveau de la porte de la Villette, dans le XIXe arrondissement. Le projet de réhabilitation des abattoirs, qui a pour vocation de les transformer en musée des sciences et techniques est confié le 15 septembre 1980 à Adrien Fainsilber. Complément du Palais de la Découverte situé au Grand Palais, la Cité des sciences et de l'industrie ouvre ses portes le 13 mars 1986, inaugurée par François Mitterrand à l'occasion de la rencontre entre la sonde astronomique Giotto et la Comète de Halley. La Cité abrite de nombreux espaces et services : · Explora qui regroupe les principales expositions permanentes organisées autour de thèmes : les mathématiques, l'image, les sons, les jeux de lumière, l'espace, l'océan, l'énergie, l'automobile, les roches et volcans, étoiles et galaxies, etc. · La Bibliothèque des sciences et de l'industrie La bibliothèque scientifique s'étend sur 3 étages. Elle est divisée en trois grands secteurs : grand public, enfance et histoire des sciences. On y trouve également des bornes interactives qui permettent de visionner directement des films, documentaires, dessins animés, etc,... · La Cité des enfants: conçue pour accueillir des enfants de 2 à 12 ans, · L'Auditorium est la salle de conférences des programmes du Collège ; · Le cinéma Louis Lumière; · Un planétarium est situé dans les expositions; · Le Carrefour numérique : Cet espace de 1200 mètres carré est une grande Cyber-base. Il est composé d'un espace d'auto-formation qui permet d'accéder à un grand nombre de didacticiels, d'un Kiosque pour naviguer sur Internet, d'un Atelier d'initiation à l'informatique, d'un Studio pour rencontrer des professionnels du multimédia, une Classe numérique pour accueillir des écoliers et d'une Agora pour participer à des performances, des rencontres et des débats sur la culture numérique. · La Cité des métiers: Lieu d'information sur l'emploi, les formations, les métiers, la Cité des métiers met à disposition des conseillers et un important fonds documentaire. Cette cité des métiers a servi de référence pour la création d'un réseau international de plates-formes semblables. · La Cité de la santé: Située à l'entrée de la médiathèque grand public, la Cité de la santé est un espace d'information et de conseils sur tout ce qui concerne la santé. · Un centre des congrès; · L'aquarium; · La salle Jean Bertin; · L'espace Condorcet; · Une aire de pique-nique; · Une boutique de livres et jouets scientifiques; · Des restaurants;
La Géode La Géode est un bâtiment en forme de géode, situé dans le parc de la Villette, C'est également une salle de cinéma et une société de distribution de film, adhérent au Syndicat des Distributeurs Indépendants. Construite par l'architecte Adrien Fainsilber et l'ingénieur Gérard Chamayou, elle fut inaugurée le 6 mai 1985. D'autres géodes existent en France, mais celle-ci constitue avec la coupole du Palais des Sports la seule géode de la région parisienne, depuis la fermeture de celle de La Défense en 2001. Bien que La Géode ait ouvert ses portes une année avant la Cité des sciences et de l'industrie, elle lui est aujourd'hui rattachée. Il s'agit d'une sphère de 36 mètres de diamètre, composée de 6 433 triangles sphériques équilatéraux en acier, qui réfléchissent la lumière, un peu à la manière d'un miroir.. Avant de choisir le nom de "Géode", plusieurs noms avaient été imaginés pour nommer l'édifice, tels que "Bouboule", "Irma", "Minouchette", "Double Zéro" ou même « Zézette ». Des films y sont projetés au format IMAX sur un écran hémisphérique géant de 26 m de diamètre et de 1 000 m2 de superficie. Elle fut sonorisée par Cabasse et compte douze points de diffusion du son, plus quatre haut-parleurs d'infra-graves (subwoofer ) de 55 cm et le tout pour un total de 21 000 watts de puissance. Les films diffusés durent environ une heure.

 




Date: 2015-12-24; view: 632


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