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egrave;me journée

PROJET

UNE SEMAINE A PARIS

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Les Invalides   Les Invalidessont tout à la fois synonyme de prestige et d'élégance classique. Malgré ses vocations multiples, ce qui fut successivement un hospice, un hôpital, une caserne et un couvent, a su conserver une harmonie particulière tant dans l'architecture que dans l'atmosphère. Le nom a tout simplement pour origine la fonction première de l'édifice : celui-ci était destiné, lorsqu'il fut construit au 18e s., à accueillir les soldats blessés à la retraite, souvent réduits à la mendicité jusqu'alors. Jusqu'à Louis XIV, les soldats à la retraite, théoriquement pris en charge par les couvents hospitaliers, ne bénéficient en réalité d'aucune ressource. En 1670, reprenant une idée d'Henri IV, le roi fonde, à leur intention, l'hôtel des Invalides. Le chantier débute un an plus tard, sur les plans de Libéral Bruant à l'entrée de la plaine de Grenelle. Les bâtiments sont terminés en 1674-1676, mais il faut attendre 1706 pour pouvoir admirer le Dôme, œuvre de Jules Hardouin-Mansart. En 1840, de diverses administrations militaires, ainsi que le musée de l'Armée, occupent également l'édifice. C'est à l'occasion du bicentenaire de la Révolution française que le Dôme a retrouvé son éclat. 555 000 feuilles d'or ont été nécessaires à sa restauration (soit 12,65 kg). Les quatre statues qui entourent le lanternon (la Foi, l'Espérance, la Charité et la Religion) ont été remplacées. L'hôte le plus illustre du lieu est évidemment Napoléon I, dont le tombeau se trouve dans l'église du Dôme. La « crypte » est à ouverture circulaire, le sarcophage de porphyre rouge se trouve au fond. Les visiteurs qui arrivent d’en haut, doivent s’incliner pour voir le tombeau de l’Empereur et, de cette façon, tout le monde lui rend hommage. Entre la Seine et l'hôtel des Invalides se situe l’Esplanadequi fut aménagée de 1704 à 1720 par Robert de Cotte, beau-frère de Mansart. Des allées de tilleuls argentés longent les six parterres de gazon latéraux (250 sur 500 m), qui accueillent promeneurs et amateurs de football et de la pétanque. Le centre de l'esplanade, depuis le portail jusqu'au pont Alexandre III, est réservé à la circulation.  
Le musée Rodin   Le Baiser   Le Penseur dans le jardin du musée Le musée Rodin est un musée assurant depuis 1919 la conservation et la diffusion de l’œuvre d’Auguste Rodin (1840-1917). À travers ses deux sites, l'hôtel Biron de la rue de Varenne dans le 7e arrondissement à Paris et la villa des Brillants à Meudon (Hauts-de-Seine), l’établissement conserve une collection composée de 6 600 sculptures, 8 000 dessins, 8 000 photographies anciennes et 7 000 objets d’art. Avec 700 000 visiteurs par an, le musée Rodin compte parmi les musées français les plus importants. Situé à l’angle de la rue de Varenne, au n°77, et du boulevard des Invalides, dans le 7e arrondissement de Paris, l’hôtel Biron a connu plusieurs propriétaires depuis l’achèvement de sa construction en 1730 pour Abraham Peyrenc de Moras, seigneur de Saint-Etienne. La duchesse du Maine, belle fille de Louis XIV, le maréchal Biron, qui donna son nom à la demeure, la légation pontificale, l’ambassade de Russie ou encore la Société du Sacré-Cœur de Jésus, congrégation religieuse fondée par Madeleine-Sophie Barat jusqu’en 1905, date de la séparation de l'Église et de l'État. L’hôtel est à ce moment dans un état alarmant. On autorise alors plusieurs artistes à établir leurs ateliers dans le bâtiment. C’est ainsi que Rodin, Jean Cocteau, ou encore Henri Matisse font leur entrée à l’hôtel Biron. En 1911, l’État achète le domaine tandis que Rodin décide de lui céder ses collections à la condition qu’un musée soit consacré à son œuvre, au sein de l’hôtel Biron. Le projet aboutit en 1919, mais Rodin, mort deux ans auparavant, ne pourra assister à l’ouverture du musée. L’hôtel Biron est entouré d’un domaine exceptionnel, en plein cœur de Paris. L’ancienne chapelle XIXe siècle, construite du temps de la congrégation religieuse et restaurée en 2005, accueille une salle d’exposition entièrement rénovée, un nouvel auditorium, ainsi que la billetterie et l’administration du musée. Le jardin, prisé des touristes comme des habitants du quartier, s’étend sur trois hectares boisés et agrémentés d’un bassin et d’une cafétéria. Les visiteurs s’y promènent au fil des sculptures monumentales de Rodin qui y sont disposées. Les sculptures de Rodin sont celles d’un artiste qui choisit de rompre avec les usages de son temps. L’artiste se distingue par le caractère monumental de ses créations. Balzac, Les Bourgeois de Calais ou Le Penseur impressionnent par leur puissance celui qui les observe. L’exemple le plus marquant est probablement la Porte de l’Enfer, jamais achevée par l’artiste et surchargée d’éléments parmi lesquels figurent les sujets majeurs de l’œuvre de Rodin (Ugolin, Le Baiser, Le Penseur, Les Trois Ombres). Le Penseur, d'une célébrité mondiale, est sans doute l'un des sommets de l'art de Rodin. Elle n'a pas été créée comme une figure isolée mais pour faire partie de la porte monumentale dite Porte de l'Enfer que l'État lui commanda en 1880 pour le futur musée des Arts Décoratifs à Paris et qui ne fut fondue qu'après sa mort. Le Penseur domine la Porte de l'Enfer où il personnifie Dante, le poète italien auteur de la Divine comédie dont la Porte de l'Enfer est précisément une illustration partielle. Mais Rodin donne rapidement une signification plus générale à l'œuvre en l'exposant isolément et en la réalisant dans des dimensions variées, jusqu'à la taille monumentale. L'influence de la sculpture de la Renaissance italienne et particulièrement de Michel-Ange est sensible dans cette figure, redevable aussi à certains chefs-d’œuvre du XIXè siècle comme l'Ugolin de Carpeaux, dont Rodin possédait un exemplaire. Son anatomie puissante traduit une concentration intérieure si intense que l'œuvre est devenue le symbole universel de la pensée humaine.  
Le Pont Alexandre III Pont AlexandreIII - Depuis le 7 octobre 1896, date de la pose de sa première pierre, par le tsar Nicolas II de Russie, était destiné à symboliser l'amitié franco-russe, instaurée par la signature de l'alliance conclue en 1891 entre le tsar Alexandre III (1845-1894) et le président de la République française Sadi Carnot. La construction de cet ouvrage d'art fut confiée aux ingénieurs Jean Résal et Amédée Alby, ainsi qu'aux architectes Cassien-Bernard et Gaston Cousin. Construit dans l'axe de l'esplanade des Invalides, inauguré pour l'Exposition universelle de Paris en 1900, ce pont conduit de celle-ci aux Petit et Grand Palais également construits pour l'exposition universelle. Les exigences techniques (comme l'absence d'arches, qui facilite la circulation fluviale) n'ont pas empêché une riche décoration (candélabres, volutes). Les deux pégases dorés, symbolisant la guerre (rive gauche) et la paix (rive droite), embrassent la perspective des Invalides. Le pont a plusieurs fois changé de couleurs ; il est passé du gris au vert-brun puis au gris perle. Il a repris ses couleurs d'origine lors de son unique restauration en 1998.[  
Le Grand Palais, avec son hall vitré, consacre ses 5000 m2 de salles à des expositions temporaires. Le Palais de la Découverte siège aussi au Grand Palais. Le « Grand Palais des Beaux-Arts » est édifié à Paris à partir de 1897, pour l'Exposition universelle prévue du 15 avril au 12 novembre 1900, en lieu et place du vaste mais inconfortable Palais de l'Industrie de 1855. « Monument consacré par la République à la gloire de l’art français », comme l'indique l'un de ses frontons, sa vocation originelle consiste à accueillir les grandes manifestations artistiques officielles de la capitale. Les dernières années, le Grand Palais vit au rythme des travaux de restauration. Le temps des grandes manœuvres, quand il s'agissait de consolider le monument ou de refaire sa spectaculaire verrière, est certes achevé, mais il fallait rendre tout leur lustre à ses façades. On s'emploie donc aujourd'hui à nettoyer la riche ornementation du bâtiment, de ce joyau de l'Exposition de 1900 qui devait incarner l’image de la France.  
Le Petit Palais   Construit par la Ville de Paris, pour l'Exposition Universelle de 1900, le Petit Palais, situé avenue Winston Churchill, et inauguré le 11 décembre 1902 comme musée, sous le nom de « Palais des Beaux-Arts de la Ville de Paris », abrite les collections Tuck (meubles et objets d’art du 18e s.) et Dutuit (émaux, céramiques et peintures), ainsi que les importantes collections du 19e s. de la Ville de Paris. L'architecte Charles Girault l'a conçu selon un plan en trapèze comprenant quatre corps de bâtiments répartis autour d'un jardin intérieur semi-circulaire bordé d'un péristyle.  
Avenue Montaigne L’avenue Montaigne est une avenue située dans le « triangle d'or » du 8e arrondissement parisien. Longue de 615 mètres et large de 33 mètres, elle part de la place de l'Alma, en bordure de la Seine, et se termine au rond-point des Champs-Élysées. Cette avenue qui monte en pente douce vers les Champs-Élysées est agrémentée de jardinets entourés de grilles. Il s'agit, au même titre que la rue du Faubourg-Saint-Honoré située un peu plus au nord, d'un des hauts lieux de la mode parisienne. Après la deuxième guerre mondiale, l'installation de Christian Dior entraîne le développement du commerce de luxe dans l'avenue. Dans les récentes années, l'avenue Montaigne semble avoir connu un nouvel essor au détriment notamment de la rue du Faubourg-Saint-Honoré. On y trouve les boutiques de grandes enseignes de luxe telles que Chanel, Christian Dior, Gucci, Louis Vuitton, Armani, Prada, Versace, Valentino, Dolce & Gabbana, Nina Ricci, Ralph Lauren, Fendi, Bvlgari, Celine, Emanuel Ungaro, Salvatore Ferragamo, Jean-Louis Scherrer, Jimmy Choo, S.T. Dupont, Max Mara, Escada, Emilio Pucci, Krizia, Chloé... L’avenue Montaigne présente des différences certaines avec l'avenue des Champs-Élysées toute proche : elle est moins animée et davantage tournée vers le luxe, en particulier vers la haute couture. Le prix des loyers commerciaux en revanche, y est sensiblement moins haut, même s'il est l'un des plus élevés de Paris. Au premier semestre 2007, les loyers annualisés pour un mètre carré en pied d'immeuble s'étageaient entre 3800 et 6000 ˆ, contre 5500 à 10000 ˆ sur les Champs-Elysées. Depuis 1911, l'avenue abrite le célèbre Théâtre des Champs-Élysées, exemple de style Art déco, et le Plaza Athénée, l'un des sept palaces parisiens.  
Le Rond-Point des Champs-Elysées Le rond-point des Champs-Élysées-Marcel-Dassault est une place parisienne qui relie deux segments de l’avenue des Champs-Élysées et l’avenue Montaigne (au sud), l’avenue Matignon (au nord) et l’avenue Franklin-D. Roosevelt (de part et d'autre), en bordure des jardins des Champs-Élysées, non loin de Petit Palais et du Grand Palais. D'un diamètre de 164 mètres, le rond-point des Champs-Élysées a été originellement tracé par André Le Nôtre en 1670 comme terminus de la grande allée du Roule. En 1771, un luxueux parc de loisirs, le Colisée, est inauguré au niveau du rond-point des Champs-Élysées, mais le public hésite à se rendre le soir dans ce quartier mal famé, et la compagnie qui exploite l'établissement fait faillite. Sous la Révolution française, la Convention nationale ordonne d'y édifier une statue de Jean-Jacques Rousseau mais ce projet n'est pas mis à exécution. En 1817, un immense jet d'eau, baptisé « la gerbe » est créé au centre du rond-point. En 1831, on édifie au centre de la place un grand bassin, qui est enlevé comme gênant la circulation. Les six petits bassins qui l'entourent, avec leurs fontaines et jets d'eau réalisés par René Lalique, subsistent jusqu'au milieu du XXe siècle. La place est devenue officiellement le rond-point des Champs-Élysées-Marcel-Dassault en 1991, en l’honneur de Marcel Dassault, constructeur d’avions, homme politique et homme de presse, qui était propriétaire de l'Hôtel Le Hon qui borde la place.  
Le Palais de l’Elysée Le palais de l’Élysée est le siège de la présidence de la République française et la résidence officielle du président de la République depuis la IIe République (de 1848 à 1851). Il est situé 55, rue du Faubourg-Saint-Honoré à Paris, dans le 8e arrondissement. Les médias utilisent, par métonymie, l'expression « l'Élysée », pour désigner les services de la présidence de la République française. Construit par l'architecte Armand-Claude Mollet en 1720 pour Louis Henri de La Tour d'Auvergne, comte d'Évreux, le palais est un hôtel particulier, qui vit le grand nombre de propriétaires : Madame de Pompadour, une de favorite de Louis XV, le banquier Nicolas Beaujon, Bathilde d'Orléans, duchesse de Bourbon, qui pendant la Révolution française, est surnommée « citoyenne Vérité », en raison de son nouvel esprit républicain. Le Palais fit office de palais princier avec Joachim Murat (1767-1815), puis de résidence d'empereur sous Napoléon Ier (1769-1821) et Napoléon III (1808-1873). Il sert aujourd'hui de résidence officielle, de bureau et de lieu de réception au président de la République.  
La rue du Faubourg Saint Honoré     Les macarons Dalloyau La rue du Faubourg-Saint-Honoré traverse le 8e arrondissement de Paris d'est en ouest. Elle commence rue Royale et se termine place des Ternes. Elle est longue de 2070 mètres. On y trouve le palais de l'Élysée, des ambassades, des magasins de luxe et des galeries d'art. La partie située entre la rue La Boétie et la place des Ternes s'est appelée chaussée du Roule (1635), Dans la partie la plus à l'est de la rue, jusqu’à la place Beauvau (désignant l'hôtel homonyme qui abrite le ministère de l’Intérieur), on y trouve des enseignes prestigieuses de l'habillement, ainsi que d'autres bâtiments officiels se situant surtout sur le trottoir sud, en partie interdit aux piétons : il s'agit de la résidence de l'ambassadeur des États-Unis, de l'ambassade du Royaume-Uni et de la résidence de son ambassadeur, de la résidence de l'ambassadeur du Japon et surtout du palais de l'Élysée, résidence officielle du Président de la République française. Un peu plus à l'ouest se trouvent de nombreuses galeries d'art et marchands d'antiquités.   Au n°110, se trouve la boutique Dalloyau, où depuis 1802, sont réunis dans une même maison tous les talents du goût : maîtres cuisiniers, maîtres pâtissiers et chocolatiers, maîtres confiseurs, maîtres glaciers et maîtres boulangers. Le fondateur de la maison s’appelle Jean-Baptiste Dalloyau, né en 1747. Faisant preuve d’une intuition visionnaire, il pressentit que la Révolution, si elle mettait fin à la vie de Cour, allait favoriser l’émergence d’une bourgeoisie qui n’aurait qu’une idée en tête : s’approprier l’art de vivre de l’aristocratie. En 1802, il ouvre la première « Maison de gastronomie » qui associe tous les métiers liés au « bien manger » et à l’art de la table. Aujourd’hui 8 boutiques accueillent tous les jours les clients dans tout Paris. Des macarons incontournables au mythique gâteau Opéra, de la recette intemporelle au classique revisité, de l’audace créative au goût réconfortant, toutes les recettes sont imaginées et réalisées par les chefs Dalloyau, selon les précieux gestes artisanaux et en dignes descendants de cet héritage gastronomique royal.  
Le Théâtre Marigny Le théâtre Marigny est situé dans le carré Marigny des jardins des Champs-Élysées, à l'angle de l'avenue des Champs-Élysées et de l'avenue Marigny, dans le 8e arrondissement de Paris. En 1835, un physicien-prestidigitateur propose ses attractions au carré Marigny. Après la révolution de 1848, une petite salle, le Château d'enfer, dirigée par Lacaze, y présente des spectacles de « physique amusante, fantasmagorie et curiosité ». Cette modeste attraction devant fermer ses portes, Jacques Offenbach, jugeant l'emplacement de premier ordre dans la perspective de l'exposition universelle de 1855, obtient d'en disposer, y fait quelques travaux, et y ouvre le 5 juillet 1855 le Théâtre des Bouffes-Parisiens. La salle sera bientôt rebaptisée Bouffes d'été, car pendant l'hiver elle cède la place aux Bouffes d'hiver de la rue Monsigny, qu'il dirige également (cette dernière salle conservera d'ailleurs le nom de Théâtre des Bouffes-Parisiens). En 1859, à l'expiration du bail d'Offenbach, la salle devient le théâtre Debureau, du nom de son directeur, fils du célèbre mime Debureau. Le théâtre est démoli en 1881 pour céder la place en 1883 à un panorama construit par Charles Garnier, l'architecte de l'Opéra de Paris. Le Panorama est transformé en théâtre en rotonde en 1894 par l'architecte Édouard Niermans. Dirigé par Abel Deval à partir de 1910, il enchaîne les productions à succès. La salle est encore agrandie et modernisée en 1925 par son nouveau directeur, Léon Volterra, déjà à la tête du théâtre de Paris et de l'Eden. En 1946, il cède la gestion de la salle à son épouse, Simone Volterra, qui fait appel à des anciens membres de la Comédie-Française pour constituer une troupe « maison » autour de Jean-Louis Barrault : la compagnie Renaud-Barrault est née. Racheté par la holding Artémis de François Pinault, le théâtre est dirigé par Robert Hossein de 2000 à 2008 (Voir Le livre de Lecture), est aujourd'hui par Pierre Lescure depuis 2008. Doté de deux salles (1 024 et 311 places), le théâtre a accueilli en 2007 170 000 spectateurs.  
Le Lido 50 ans de triomphe et toujours une incroyable modernité! Peut-on encore dire du Lido de Paris qu'il est un "cabaret" ? Lorsqu’on découvre son immense salle de 2000 m2 à la visibilité parfaite, sa décoration somptueuse, ses tables pouvant accueillir 1100 convives... on est saisi par une impression de grandeur et une sensation de magie qu'aucun superlatif ne saurait qualifier. Et pourtant, au-delà des prouesses techniques, de la féerie d'un spectacle d'envergure internationale, le Lido conserve une âme, un esprit parisien empreint de raffinement … Les menus sont réalisés par le Chef Philippe Lacroix et son équipe de 35 cuisiniers et pâtissiers. Ils offrent un subtil mélange entre la grande tradition de la cuisine française et l'innovation.  
La Défense, ses tours et sa Grande Arche     La Défense, en région parisienne, est le premier quartier d'affaires européen par l'étendue de son parc de bureaux. Il est situé dans les Hauts-de-Seine sur les territoires de Puteaux, Courbevoie et de Nanterre dans le prolongement de l'axe historique parisien qui commence au musée du Louvre et se poursuit par l'avenue des Champs-Élysées, l'Arc de triomphe, et au-delà jusqu'au pont de Neuilly et la Grande Arche de la Défense. La Défense est majoritairement constituée d'immeubles de grande hauteur, regroupant principalement des bureaux (environ 3 millions de m2). La Défense est cependant un quartier mixte : elle accueille 600 000 m2 de logements et l'ouverture du centre commercial des Quatre-Temps en 1981 en a fait un pôle commercial majeur en région Île-de-France. En 2009, le quartier compte environ 180 000 salariés et 20 000 habitants. Le quartier s'étend sur une vaste dalle piétonne de 31 hectares surélevée par rapport au sol naturel. L'espace public de la dalle, essentiellement minéral, est également composé de jardins suspendus et de bassins. Sur la dalle, une soixantaine d'œuvres d'art font de la Défense un musée en plein air. L'aménagement du quartier de la Défense a été confié par l'État en 1958 à l'établissement public pour l'aménagement de la région de la Défense (EPAD) afin de mettre en œuvre un projet cohérent de la Seine à la Seine, sur l'un des territoires majeurs du Grand Paris. La Défense est souvent présentée comme étant « aux portes de Paris », mais la Grande Arche est aussi proche des Yvelines que de la ville de Paris. La Grande Arche de la Défense -Elle est la clé de voûte de La Défense, immense arche en béton de 300000 t et de 110 m de côté, tout en verre et en marbre blanc de Carrare. Sous la voûte, un hectare de vide simplement coupé par les ascenseurs panoramiques. Conception de l'architecte danois Otto von Spreckelsen, dont c'est l'unique œuvre... et du reste posthume. Pour des raisons techniques, l'Arche est légèrement inclinée par rapport à l'axe de La Défense. Sous la voûte, un treillis de câbles supporte les ascenseurs panoramiques qui relient le socle au toit. L'Arche abrite plusieurs ministères, des entreprises nationales et internationales. Pour vous imaginer un peu les dimensions de cette Arche géante qui mesure 70 mètres de large, sachez que les Champs-Elysées pourraient facilement passer sous elle et aussi on pourrait y caser Notre-Dame de Paris avec sa flèche. Sous la Grande Arche on voit une grande « toile à hublots rayés », qui sert à empêcher le vent de souffler trop fort sous l'édifice. Ayant le poids de 300 tonnes, cette toile tendue doit évoquer la légèreté d'un nuage. Conçue spécialement pour l'Arche, cette toile est assez solide pour résister aux vents et aux averses, mais elle laisse passer la lumière. Outre cela, elle est toujours d'apparence très propre, car cette toile est faite de la sorte qu'elle vire au blanc sous l'action de la lumière du jour.  

 



 


Date: 2015-12-24; view: 696


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