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Les particularités du développement du français contemporain.

Le gouvernement français a instauré de nombreux organismes chargés de créer une terminologie française et d’assurer la défense et l’expansion de la langue, par exemple l’Académie française, qui rend obligatoires certains mots nouveaux, l’Association française de terminologie, l’Office québécois de la langue française et le Service de la langue française de la Communauté française de Belgique. Ces dernières travaillent conjointement et s’occupent de la néologie selon les besoins, ainsi comme de la création de nouveaux mots. En 1919, le Traité de Versailles marqua la cessation du privilège de la langue française sur le champ diplomatique. Ce document fut rédigé en anglais et en français.
Les moyens de diffusion ont joué un rôle très important dans l’évolution du français contemporain. D’ailleurs, de nos jours la langue parlée est aussi importante que l’écrite, et même la presse a tendance a simplifié la syntaxe.
Il est vrai que dans les organisations internationales, comme par exemple l’ ONU, les langues officielles son le français, l’anglais, le russe et la chinois. Plus tarde n ajouta l’espagnol et l’arabe. Tout de même il faut distinguer entre langue officielle et langue de travail. La première indique que toute réunion officielle doit être pourvue d’interprétation simultanée. La langue de travail en revanche, exprime le besoin de la connaître à fin de pouvoir effectué les actions nécessaires par oral ou par écrit en l’utilisant. Tout délégué doit pouvoir s’exprimer et rédiger dans la langue de travail.
Dans plusieurs de ces organismes des Nations Unies, le français est une langue officielle et aussi de travail: l’Assemblée générale, le Système de sécurité, le Conseil économique et social, le Conseil de tutelle, la Cour internationale de justice et le Secrétariat.

En ce qui concerne la phonétique, on constate dans le nord de la France une réduction drastique de la distinction entre la voyelle [a] antérieure et brève dans patte et la voyelle postérieure et longue dans pâte, sauf au Québec et dans les anciennes colonies. De même, nous pouvons noter une différence difficilement perceptible entre la voyelle orale [un] dans brun et la nasale [in] dans brin au profit de la dernière.
On remarque aussi des influences notables de la graphie sur la prononciation. Par exemple, des consonnes qui n'étaient pas prononcées il y a plusieurs décennies ont tendance aujourd'hui à être prononcées [kasi] ont tendance à devenir [domp-té], [meurss], août , comme c’est la cas dans le mot cassis[kasiss].



Les tendances les plus fréquentes sont les suivantes: le passé simple est pratiquement disparu dans la langue orale, tout comme le plus-que-parfait.
Le participe passé doit s’accorder, cela même si la tendance à l’orale est de ne pas faire cet accord. Par ailleurs, il existe quelquefois entre les francophones une hésitation entre l’emploi des auxiliaires être et avoir.
Le futur se fait généralement en ajoutant -era, -ira ou -ra. Cependant, la langue orale a tendance à préférer le futur proche dans. Mais quand on utilise la négation, le retour au futur
normal est quasi systématique. On n'entend plus rarement l’autre option car avec la première on économise des mots. De toutes les façons, cette négation a tendance a disparaître à l’orale.

Cela étant dit, le 6 mars 1998, une circulaire relative à la féminisation des noms de métiers émanant du premier ministre Lionel Jospin invitait les administrations à la féminisation des noms de métiers.
Finalement, en 1999 est publié un guide de féminisation qui s’intitulait ‘Femme, j’écris ton nom’ et qui tirera au claire les emplois féminines corrects.

L’orthographe française est très archaïque et complexe. Le fait que toutes les réformes de l’orthographe aient été avortées a influencé le caractère arbitraire de l’orthographe, qui ne correspond plus à la réalité linguistique contemporaine.
Il existe actuellement une ‘crise des langues’ qui se voit surtout dans le détériorée de la langue écrite, et cette situation se généralise non seulement en France mais aussi au Québec, en Belgique, et en Suisse romande. Touchant ce thème, le linguiste Alain Rey insinue que la crise des langues n’est qu’un aspect de la crise permanente des sociétés. Alors, l’Académie française délibéra de nouveau. Ils accordèrent qu’il n’y aurai plus d’impositions de nouvelles normes orthographiques. On assite à l’apparition d’ouvrages de référence tels que ‘Le bon usage’ , ‘Le dictionnaire de l’Académie’,etc…qui font état des rectifications. Cependant, les publications du ‘Petit Larousse’, ou du ‘Petir Robert’, n’ont accèpté qu’une partie des consignes proposes pour les changements. D’ailleurs, on ne parle plus de réformes, mais de simples rectifications.
Cependant, il y a une coexistence d’usages comme conséquence de la tendance de chaque pays francophone ou région, à cultiver diverses variétés de français qui conservent toutes un certain nombre de traits originaux.

Lexicologie

26.Le mot comme unité lexicale de base. Les valeurs lexicale et étymologique du mot. La motivation des mots.

Le mot comme une unité fondamentale de la langue est reconnu par la plupart des linguistes étant une unité de base de la langue. Cette opinion ne changait pas pendant des siècles, mais a été révisée par certains linguistes contemporains. Les ling. Américains représentants de l’école structuraliste(Harrisn Nida) selon lesquels on n’a pas le mot, mais le morphème. Dally proposait la notion de sémantème, signe qui exprimait une idée purement léxicale, et de la mollecule syntaxique, tout complexe formé d’un sémantème et ‘un ou plusieurs signes grammaticaux – actualisateurs nécessaires et suffisants pour qu’ils puissent fonctionner dans une phrase. Il séparait l’aspects léxico-sémantique d’un mot non-actualisé de la forme de ce mot actualisé dans la parole. Martinet a introduit la notion de monème – une unité minimale de sens. Scerba dit que les mots dans la langues différentes ne sont pas toujours pareils d’où découle l’absence générale de la notion ‘mot’. Le morphème constitue seulement une faculté qui est propre au mot qui met en contact notre conscience et le monde exterieur.

Le mot est une unité polyfonctionnelle et rempli des fonctions nominative, significative, communicative et pragmatique.Fonction essentielle – servir à la communication des homme entre eux. Bcp de vocables sont susceptible d’exprimer des notions ou concepts cela explique leurs fonction rationnelle. Certains mots ont une valeur affective(servent à traduire les sentiments de l’homme, son attitude émotionnelle envers la réalité). Pronoms personnels, noms propres, mots-putils ne l’accomplissent pas.La plupart des mots ont une valeur neutre(aller, faire, homme).

Signification lexicale et grammaticale des mots – tous les mots sont porteurs d’une signification grammaticale. La signification lexicale reflète les liens du mot avec l’objet qu’il nomme. Le concept détérmine la signification léxicale, son contenu. Types de signification léxicale : nominative(réalité détérmine le caractère des rapports entre les mots), phraséologiquement liée, la signification syntaxiquement conditionnée(dépend de la réaction différente des verbes, poste-et préposition des adj).

En liaison avec le sens étymologique des mots se trouve la question des mots motivés et immotivés. Nous assistons souvent à la confusion du sens étymologique d'un mot et de sa motivation. Toutefois le sens étymologique appartient à l'his­toire du mot, alors que la motivation en reflète l'aspect à une époque donnée.

Tous les mots d'une langue ont forcément un sens étymologique, explicite ou implicite, alors que beaucoup d'entre eux ne sont point mo­tivés. Tels sont chaise, table, sieste, fortune, manger, etc. Par contre, nous aurons des mots motivés dansjournaliste, couturière, alunir, por­te-clé, laisser-passer dont le sens réel émane du sens des éléments com­posants combinés d'après un modèle déterminé. La motivation de ces mots découle de leur structure formelle et elle est conforme à leur sens étymologique. On assiste à la motivation directe lorsque l'élément (ou les éléments) de base du mot motivé possède une existence indépendante. Dans le cas contraire il y aura motivation indirecte. Ainsi journaliste formé à partir de journal ou lèche-vitrine tiré de lécher et vitrine seront motivés directement. Par contre, oculiste et aqua­tique le seront indirectement du fait que ocul- et aqua- n'existent pas sous forme de mots indépendants. La motivation phraséologique repose sur le rapport lexico-sémantique qui s'établit entre la locution et le groupement de mots libres correspondant. Citons en guise d'exemple la locution avoir la main ouver­te - « être généreux ». La motivation est un phénomène intralinguistique qui repose sur .les associations formelles et sémantiques que le mot évoque.

Si l’étymologie du mot se laisse faciliment expliquée - ce mot est motivé, sa forme interne est apparente. Le mot peut etre motivé acoustiquement(onomatopée). En principe tout mot est motivé à l'origine. Avec le temps le mot motivé est devenu non-motivé ou motivé partiellement. Pour comprendre un mot non-motivé on le rattache à un mot connu – le phénomène de l’étymologie populaire qui est le résultat de fausse association sémantique et phonétique(laundanum qui est un médicament est associé au lait d’anon).

27.Le fond usuel du lexique en français et ses traits distinctifs.

Le fonds usuel com­prend des vocables d'un emploi commun pour toute la société. Tels sont les mots et les expressions terre, soleil, homme, grand, beau, travailleur, avoir faim et une quantité d'autres qui sont parmi les plus usités dans la langue. À côté des mots autonomes le fonds usuel comprend les mots-outils ou non-autonomes qui ont reçu un emploi commun et durable. Ce sont les articles, les pronoms, les verbes auxiliaires, les prépositions, etc. Les mots et locutions du fonds usuel qui constituent la base lexicale du français standard, sont nécessairement employés par les représentants de couches sociales différentes dans la plupart des régions où le français sert de moyen de communication.

En dehors du fonds usuel du vocabulaire demeurent les mots dialec­taux d'une extension restreinte, employés de préférence dans une région déterminée. Ainsi mouche à miel répandu au Nord de la France n'entre pas dans le fonds usuel, tandis que abeille exprimant la même notion et employé sur presque tout le territoire du pays en fait sans conteste partie.

Les mots d'argot et de jargon, les termes spéciaux et professionnels, etc., doivent être aussi exclus du fonds usuel ; tels sont, par exemple, les cas de bûcher, potasser, piocher, chiader tenant lieu de « travailler fer­me » dans l'argot scolaire.

Toutefois les mots du fonds usuel subsistent dans la langue pendant une longue durée. Le fonds usuel est de beaucoup plus vital que l'ensem­ble du vocabulaire. En effet, un grand nombre de mots du fonds usuel lexical du français moderne remonte à une période historique éloignée, à l'époque de la domination romaine en Gaule et de son envahissement ultérieur par les tribus germaines, durant la période de formation de la langue française à base du latin populaire (ou « vulgaire »).

Le fonds usuel du français moderne a conservé un grand nombre de mots ayant appartenu autrefois au latin populaire et qui ont été répandus sur le territoire de la Gaule par les soldats romains. Citons quelques-uns de ces mots qui sont jusqu'à présent d'un emploi commun : oie < auca, parent < parentis, tête < testa, jambe < gamba, cité < civitas, bouche < bucca, manger < manducare.

Les relations étroites entre Rome et la Grèce ont contribué à la péné­tration de certains mots grecs dans le fonds usuel du français par l'entre­mise du latin populaire ; tels sont : épée < spata < spatha, école < schola ; cathédrale < cathedra.

Le latin populaire possédait un certain nombre de mots de provenance germanique. C'étaient pour la plupart des termes militaires qui avaient pé­nétré en latin à la suite des conflits militaires entre les Romains et les tribus germaines. Ainsi les mots guerre, éperon, trêve, qui font jusqu'à présent partie du français remontent à cette période lointaine. On peut encore ajou­ter quelques mots qui signifiaient autrefois la robe d'un cheval et qui, aujourd'hui, désignent des couleurs en général : blanc, brun, fauve, gris.

À l'époque de la domination romaine en Gaule le latin populaire qui élimina la langue indigè­ne a pourtant assimilé quelques dizaines de mots d'origine celtique. Ces mots exprimaient surtout des notions touchant aux mœurs villageoises ; tels sont alouette, charrue, sillon, ruche, tonneau, charpente, bouleau, chê­ne, alouette, bec, lieue.

Les Francs qui menaient presque exclusivement une vie champêtre ont introduit dans le français des mots qui ont rapport à la campagne ; parmi eux hêtre, haie, jardin, gerbe, frais sont d'un usage courant dans le français d'aujourd'hui. Ils ont aussi introduit un certain nombre de mots désignant des objets ou phénomènes se rapportant à la vie sociale et do­mestique ; entre autres, les mots fauteuil, gant, hareng, orgueil, gage, guérir appartiennent au fonds usuel du français actuel.

Le fonds usuel de la langue française n'est pas resté immuable. II s'est enrichi graduelle­ment au cours des siècles quoiqu'il ait perdu une certaine quantité de vocables qui, par la suite, ont disparu ou se sont cantonnés dans une sphère restreinte : homonymes sémantiques ; des mots ou des locutions formés par des moyens propres à la langue -.patriote <patrie ; dialectismes .

Le fonds usuel du lexique français se caractérise par la stabilité et sa vitalité et ses éléments essentiels restent dans la langue durant de longs siècles depuis l'époque de la romanisation de la Gaule.

28.Le phénomène de l’enrichissement du lexique français par des procédés sémantiques.

La science qui traite de la structure sémantique des unités lexicales de même que de l'évolution de cette structure est appelée séman­tique. L'évolution sémantique des mots est une source interne féconde de l'en­richissement du vocabulaire. Il serait encombrant pour la langue d'avoir un vocable nouveau pour chaque notion nouvellement surgie. La langue réussit à accomplir ses fonctions à moindres frais ; elle utilise largement les mots qu'elle possède en leur soufflant une vie nouvelle. Ainsi chaque mot peut développer sa structure sémantique ou son système de significations. Le mot lampe désignait autrefois «un recipient renfermant un liquide (huile, pétrole, etc.) susceptible de donner de la lumière en brûlant».Aujourďhui il s'applique aux lampes électriques, à néon qui nous éclairent.

Très souvent l'évolution sémantique d'un mot est le résultat de la dénomination d'un objet (ou d'un phénomène) nouveau au moyen d'un vocable désignant un autre objet auquel cet objet nouveau s'associe par quelque rapport. Le procès sémantique peut aboutir à un changement total ou à une modification partielle du contenu sémantique d'un mot. Le contenu sé­mantique change complètement lorsque ce mot acquiert un sens nouveau qui élimine son sens primitif. Le changement sémantique est aussi partiel lorsque les modifica­tions portent uniquement sur le signalement du mot : ses caractéristiques stylistiques ou ses particularités d'emploi(récemment les dictionnaires condamnaient l'emploi du subs­tantif but avec les verbes poursuivre et remplir. Aujourd'hui les expres­sions poursuivre un but, remplir un but y ont reçu droit de cité).

L'évolution sémantique peut enfin aboutira l'apparition d'homony­mes dits sémantiques et qui sont des mots remontant à la même origine et, par conséquent, caractérisés par la même forme, mais dont le contenu sé­mantique est totalement séparé : Table -« meuble posé sur un ou plusieurs pieds » est un homonyme de table -« liste d'un ensemble d'informations ».

La polysémie est précisé­ment la faculté du mot d'avoir simultanément plusieurs sens à une épo­que donnée. Elle est propre aux subs et verbes ce qui s’explique par un certain insuffisance d’un système flexionnel du fr comme langue analytique en comparaison avec les lgs analytiques. P.ex. verbe’mettre’ a plus de 80 significations, plus de 40 significations du mot ‘tete’. La monosémie du mot peut être aussi créée par le milieu (local, his­torique et social). En effet, le sens du mot dépend de la région, de la province où ce mot est employé. Ainsi dans le Poitou quitter s'emploie pour « laisser ». Les termes dans le cadre d'une terminologie devraient être monosémiques. C'est une des conditions du bon fonctionnement des termes dans la langue. Un terme à plusieurs sens est un moyen imparfait de communication.

La restriction du sens a lieu lorsque le mot commence à exprimer une notion plus restreinte. P.ex. pondre qui à partir du sens primitif de « déposer » a reçu le sens de « déposer des œufs » en parlant des oiseaux et des reptiles.

L’extension que le mot reçoit une plus grande liberté quant à sa fonction nominative : on assiste à la transformation d'une notion d'espèce en une notion de genre. P.ex. Panier était « une corbeille pour le pain » et aujourd'hui « une corbeille » pour toute sorte de provisions. Bcp de termes spéciaux, géograp et techniques ont élargis leur sens(crise, bloc, climat).

La restriction et l'extension du sens sont le plus souvent le résultat |du changement de l'aire d'emploi d'un mot qui passe d'une sphère de l'activité humaine dans une autre. Généralement ces procès sémantiques l'amènent guère à la polysémie. Toutefois des cas se présentent où le lême mot a un sens plus général dans la langue commune et un sens sstreint dans le cadre d'une terminologie spéciale ou d'un jargon.

Le déplacement des sens - transfert d'une notion d'espece à une autre notion d'espèce. chaîne dont la notion générique de «succession ďanneaux de métal entrelacés» est concrétisée dans les sens de «lien» (tenir un chien à la chaîne), ď«attache ornementale» (chaîne ďor), de «suite ďéléments métalliques servant à transmettre un mouvement utilisés en mécanique»(chaîne de bicyclette).

Le glissement de sens. Les multiples emplois d'un mot dans la parole mettent l'accent tantôt sur l'une tantôt sur l'autre de ses nuances de sens. Il en sera ainsi de pâle dans un visage pâle (décoloré), un soleil pâle (sans éclat), bleu pâle (faible de couleur).

L'amélioration et la péjoration du sens. Les procès sémanti­ques examinés jusqu'ici représentent des modifications d'ordre logique. Ils sont parfois accompagnés de modulations affectives qui portent sur le contenu sémantique des mots en lui ajoutant des nuances favorables ou défavorables. Ce sont surtout les cas d'« avilissement » de sens qui sont fréquents. P.ex. Un épicier, « propriétaire d'une épicerie ». par­vient à désigner « un homme à idées étroites, à goûts vulgaires qui ne cherche qu'à gagner de l'argent». La dégradation du sens des mots est souvent causée par leur emploi euphémique.Un e u p h é m i s m e est un mot ou une expression employé à dessein afin d'éviter l'évocation d'une réalité désagréable ou choquante. Les mots peuvent subir une évolution sémantique opposée ; ils peu­vent améliorer leur sens, s'ennoblir. Toutefois ces cas paraissent être moins fréquents.


Date: 2015-12-11; view: 1051


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