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Petite leçon de psychologie: le pervers narcissique et ses complices

Les pervers narcissiques n'éprouvent aucun respect pour les autres, qu'ils considèrent comme des objets utiles à leurs besoins de pouvoir, d'autorité, ou servant leurs intérêts. Il font des promesses qu’il ne tiendront pas, sachant que les promesses n’engagent que ceux qui y croient. Pris en flagrant délit de mensonge, ils sont capables de nier avec un aplomb hors du commun...
Charité bien ordonnée commençant toujours par soi-même, ils savent parfaitement et farouchement défendre leurs intérêts dont ils ont toujours une vision très claire. Ils essaient de profiter à chaque instant de toutes les opportunités, de toutes les personnes rencontrées, et ces personnes sont systématiquement instrumentalisées pour en tirer, autant que possible, avantage pour eux. Comme pour tous les narcissiques, tout leur est dû. Ils n'admettent aucune remise en cause et aucun reproche.

Les pervers narcissiques sont incapables d’aimer les autres. Dans leur immense majorité, ils n’ont aucune «humanité», aucun sentiment humain, aucun état d’âme, aucun affect. Ils sont froids et calculateurs, totalement indifférents à la souffrance d’autrui. Mais tout en étant, le plus souvent, incapables d’avoir des sentiments humains, ils simuleront le fait d’être emplis, en apparence, de bons sentiments et d’une sincère empathie pour autrui.

Les déceptions entraînent chez eux de la colère ou du ressentiment avec un désir de revanche. Cela explique la rage destructrice qui s'empare d'eux lors des séparations. Quand un pervers perçoit une blessure narcissique (défaite, rejet), il ressent un désir illimité d'obtenir une revanche. Ce n'est pas, comme chez un individu coléreux, une réaction passagère et brouillonne, c'est une rancune inflexible, implacable à laquelle le pervers applique toutes ses forces et ses capacités de raisonnement. Et alors, il n’aura de cesse d’assouvir son dessein de vengeance.
Les pervers narcissiques ont souvent besoin de haïr pour exister. La haine peut être chez eux un moteur très puissant.

Souvent, le pervers narcissique est quelqu'un qui n'a jamais été reconnu dans sa personnalité propre, qui a été victime d’investissement narcissique important de la part de ses parents et qui a été obligé de se construire un jeu de personnalités (factices), pour se donner l'illusion d'exister.

Du fait d’une histoire personnelle, où il ont été, par exemple le bras armé d’un de leurs parents, les pervers n'ont pas pu se réaliser. Ils observent alors avec envie ce que d'autres qu'eux ont pour y parvenir.
Les pervers narcissiques ne sont jamais sincères, toujours menteurs. Ils peuvent aussi bien dire la vérité que mentir avec aplomb. Le plus souvent, ils effectuent de sensibles falsifications de la vérité, qu'on ne peut pas vraiment qualifier de mensonges, et encore moins de constructions délirantes. Mélanger le mensonge, la sincérité et la franchise —ce qui est, pour l'autre, très déstabilisant— fait partie de leur jeu.



Le déni (de leurs défauts, de l'autre) leur permet de «s'aimer»(et de s’aimer toujours plus). Ils se mentent à eux-mêmes, sur leur vraie valeur, sur ce qu’ils sont réellement. A certains moments, ils finissent par croire à leur mensonge, à d’autres, ils en ont conscience. C’est toute l’ambivalence de la pathologie mythomane. Le pervers narcissique est un «comédien né». Ses mensonges à force d’entraînement sont devenus chez lui une seconde nature.
Sa palette de personnalités, de personnages, d’émotions feintes est étonnante. L’éventail de son jeu d’acteur est infini, sans cesse renouvelé.
Il donne le plus souvent l’image d'une personne parfaitement calme, ne s’énervant jamais.
Le pervers narcissique est le plus souvent doté d’une combativité extrême et d’une capacité de rebond remarquable. Sa mégalomanie, son narcissisme, voire sa paranoïa, renforcent cette combativité. Souvent immensément orgueilleux, voire mégalomane, le pervers narcissique aime gagner, à tout prix, sans fin, et ne peut admettre, une seule fois, de perdre. Il est prêt à tout, même aux coups les plus retors, pour ne jamais perdre. Le pervers est comme un enfant gâté. S’il ne rencontre pas de résistance, il ira toujours plus loin.
A la longue cette tendance, qui peut lui assurer une dynamique du succès pendant un certain temps, devient une addiction. Signe de sa mégalomanie, elle la renforce en retour, et l'amène à ne plus pouvoir tolérer la moindre frustration ou contradiction.

«Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose !» (Beaumarchais).
Le pervers narcissique a le talent de diffamer sans avoir l’air d'y toucher, prudemment, en donnant l’apparence de l’objectivité et du plus grand sérieux, comme s’il ne faisait que rapporter des paroles qui ne sont pas les siennes. Souvent il ne porte pas d’accusation claire, mais se contente d'allusions voilées, insidieuses. A la longue, il réussira à semer le doute, sans avoir jamais prononcé une phrase qui pourrait le faire tomber sous le coup d’une accusation de diffamation.

Situations cliniques :

• Le déni : «La France n’a jamais commis de génocide», en France, on a rien fait, la collaboration n’a pas existé, donc nous n’avons pas besoin de repentance (et on tue en même temps le Père en détruisant le remarquable travail de mémoire accompli par son prédécesseur).

• La diffamation sans y toucher : «ON égorge des moutons dans les baignoires », le ON anonyme du mépris et du colonialisme.

• Frapper l’autre d’inexistence pour le mépriser et le déstabiliser : je ne regarde pas mon adversaire au cours d’un débat, je dis «elle»en regardant un témoin.

• La jouissance du sous-entendu : « Je dis tout haut ce que tout le monde pense tout bas». Ce qu’on pense tout bas, ce n’est en général pas très beau, et justement, on ne le dit pas. Ou «en France, on ne peut pas dire les choses» : par exemple, les nègres nous emmerdent, foutons les dehors…

• Provoquer la sidération et l’adhésion de l’entourage en le confrontant à l’horreur absolue : par exemple parler longuement du calvaire de la mère de Sohane pour faire passer une loi sur la récidive.

• Etre mégalomane, ne pas supporter le moindre accro à sa propre image : faire virer un grand patron de presse pour avoir été montré sous les traits ridicules du cocu.

• Enfance : venger une mère abandonnée qu’on ne quitte qu’à l’âge de 28 ans.

• Amour de la traîtrise : prendre pour porte-parole celui qui a trahi et calomnié son propre camp…

Mais vous avez sûrement en tête d’autres situations…

Allez, bonne continuation.

Serge Hefez

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Rédigé le 06/05/2007 à 21:12 dans Politique | Lien permanent

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Voici les sites qui parlent de Petite leçon de psychologie: le pervers narcissique et ses complices :

Commentaires

Ca ressemble fortement à une analyse vidéo faite par Gérard Miller, non ?

Rédigé par : Violaine | 06/05/2007 à 21:49

les francais qui comme de gaulle le disait sont des vaux viennent d elire trois perssonages pour le prix d un petain mussolini tatcher tous les trois de foutus pervers narcissiques NON???

Rédigé par : y bureau | 06/05/2007 à 21:59

Vous oubliez de dire que le pervers narcissique a le verbe facile, avec sa langue, celle que Miller appelle "de velours noir", il fascine les sans voix qui croient trouver enfin en lui celui qui leur redonnera une place, un statut. Le pervers narcissique sévit surtout dans les groupes, là ou les phénomènes collectifs d'entrainement irrationnel et émotionnels sont les plus puissants. Ce qu'il faut savoir c'est que la description de cette entité de la pathologie humaine a été faite de la façon la plus détaillée à partir de l'expérience d'un psychanalyste P.C. Racamier, qui a décrit les ravages d'un pervers narcissique dans son association de psychanalystes... comme quoi! Allez courage!

Rédigé par : Brigitte | 06/05/2007 à 22:39

Tordant de rire(jaune)!
Pourquoi avoir attendu les résultats pour publier une analyse si pertinente de notre cher président (ça m'écorche les doigts de tapper ça, promis, je les lave au karcher après)?

Dommage que près d'un français sur deux ait besoin de cinq longues années pour aboutir à cette conclusion...

Bon courage à tous.

Rédigé par : crastin8 | 06/05/2007 à 23:00

Au fur et à mesure de ma lecture, c'est bien à "lui" auquel je pensais, et puis vos exemples m'en ont donné la confirmation. Si ce portrait n'est pas qu'un simple exercice de style, si ce que vous décrivez cliniquement est bien exact, c'est effrayant… J'ai toujours ressenti chez "lui" cette avidité maladive du pouvoir, il m'a toujours mis mal à l'aise mais comment est-ce possible que 53% de presonnes aient pu voter pour lui ?

Rédigé par : Catherine | 06/05/2007 à 23:09

En commentaire, je vais vous adresser le mail qu'un pervers narcissique envoie à sa victime. Evidemment, les noms ont été enlevé, il n'est pas question de faire du tort à quiconque, mais de mettre une réalité cru sur ce qui vient d'être énoncé très précisément et avec beaucoup de justesse. Cet homme qui a abusé sa soeur lorsqu'elle était petite, a également abusé son frère. Elle a commis l'horrible imper de parler il y a un an de ce qu'elle a subi. Depuis l'entreprise de harcèlement, de mépris est en marche.

Voici le contenu de la lettre :
"Bonjour,
Je souffre d'entendre tes propos rapportés. Tu souhaites te venger !?
C'est absolument insupportable !
Je te rappelle que tu ne sais même pas écrire ce que tu me reproches,
que n'importe quel psy sensé te dirait qu'il est impossible de
refouler un tel acte après un certain âge
que tu vis avec un mec qui s'est présenté comme adorant te sodomiser,
qui a encouragé XXX(la fille de la victime agée de 6 ans à l'époque) de dire à Maman qu'elle adorait gourdiner,
qui a traité XXX(la fille de la victime) de future putain (c'est enregistré sur bande)
que ta dernière fille demandait le dernier jour que je l'ai vu de
toucher sa quéquette.
Mais le pervers, le frère incestueux, c'est moi, transformé en
monstre en à peine 3 mois.
Ne pas supporter l'autorité = frère incestueux ?!

Depuis que tu fréquentes ton ami qui se fait passé pour un enchanteur
(un sale type, oui), tu as eu des relations de plus en plus tordues
avec ta famille, un comportement anormal qui consiste à demander, à
réclamer et à cracher dans la soupe. Depuis longtemps, je n'avais
plus envie de venir te voir : crois-tu agréable qu'un enfant de 3 ans
te traite de con ? ou te dise que tu pues de la gueule ? Qui a appris
ces mots à tes filles ?


Pour XXX(la fille de la victime), j'ai un dossier de cent pages à lui faire lire sur le
cabinet que tu fréquentes. Le fameux dessin qui a tout déclenché...
En fait, depuis longtemps, le processus qui te conduisait à te venger
de YYY(l'ex compagnon de la victime) était en route. Et à ce moment, tu suivais déjà les conseils
de cette nulle de psy qui un jour je n'en doute pas sera condamnée.
Je te rappelle que le docteur qui dirige ce centre a été rappelé à
l'ordre plus de 6 fois par l'ordre des médecins -il aurait même été
suspendu d'exercer -
que ta chère éducatrice spé est absolument décriée dans le monde de
la petite enfance. C'est cinéma et publicité.

Tu es sans doute malade, en fait une fille obsessionnelle très mal
entourée, très mal conseillée.
Mais ce n'est pas ma faute. Car une victime ne peut pas aider son
bourreau.
Tu pleures ton passé. Aujourd'hui, tu as déjà fait pire que Papa. Tu
as détruit le père de ta fille. Tu as déjà partiellement bousillé
l'avenir de XXX(la fille de la victime). Tu fait souffrir Maman. Et tu veux à présent
détruire ma vie.
Quelle thérapie ! "Je vais très bien, je le jure". "J'ai été très
bien soignée".

Je t'envoie une photo de moi. Peut-être te rendras-tu compte que je
n'ai rien d'un monstre.
Il est encore temps pour toi de te soigner. Il n'y a pas que des
charlatans dans le domaine de la psy.

Je souffre depuis 2 ans et je sais qu'il y a peu d'espoir que tu t'en
sortes si tu ne décides pas rapidement de te soigner.

Regarde bien la photo de ta victime."


La lettre est signée, suivi d'une photo de l'homme arborant un sourire complaisant. Cette lettre saura mettre des images et des émotions sur ces concepts.

Ch.

Rédigé par : ch. L B-T | 06/05/2007 à 23:10

Dommage que vous preniez les mêmes exemples et les mêmes mots que Gerard Miller.
Pour attaquer Sarkozy , il faut être fort et ne pas non plus instrumentaliser les attaques contre lui.
Il saura toujours retourner les foules pour vous contrer.
La preuve !!!!
Aucune remarque ce soir à la télé sur la repentance
Selon le Robert :

- se repentir : ressentir le regret d'une faute , accompagné du désir de ne plus la commettre , de réparer .
La france doit donc en finir avec la repentance, elle ne doit donc plus ressentir le regret des fautes qu'elle a commise (notamment pendant la deuxième guerre mondiale ?).
Si elle doit ne plus ressentir ce regret , elle ne doit plus non plus ressentir le désir de ne plus les commettre et de les réparer.
A pleurer

Rédigé par : quedeville | 06/05/2007 à 23:56

Pour plusieurs "situations cliniques" citées ici, c'est carrément pompé à la vidéo de Gérard Miller dispo ici :
http://www.dailymotion.com/video/x1vfyt_gerard-miller-analyse-sarkozy

Et le plagiaire narcissique, Monsieur Hefez, cela vous parle ?

Merci de citer vos sources !

Rédigé par : Pilgrim | 06/05/2007 à 23:57

La personnalité du pervers narcissique est très bien connue en psychologi et correspond à des critères très précis.
J'avais très bien identifié NS comme un pervers narcissique ayant vécu une situation de harcèlement moral par un patron pervers narcisique. Voir le livre de Marie-France Hirigoyen
"Harcèlement moral au travail" où elle décrit le pervers narcissique.

 

Rédigé par : MARIA | 07/05/2007 à 01:50

Voilà un article sans grand intérêt pour tout dire... Cela me fait penser que les bobos à la pensée soit disante fulgurante ont tout de même tendance à gentiment se répéter.

Cela n'est pas grave, les français se moquent bien de votre avis et votent massivement pour les gens qui semblent près à s'engager pour leur pays.

Cela vous déplaît mais de fait la France a décidé de s'engager dans le monde actuel avec toute sa capacité sans être freinée par les pisse-froids de tout poil.

Continuez à disserter sur les terrasses de St Germain, nous nous allons prendre à bras le corps le destin de se pays.

Souffrez que nous ne perdions pas trop de temps dans les mois à venir avec vos foutaises.

Rédigé par : Télémaque | 07/05/2007 à 11:39

c'est exactement celà... on voit toute la mesquinerie.. la petitesse, l'étroitesse d'esprit du personnage... ces discours faux.. les mensonges à la pelle.. c'est comme le nez au milieu de la figure mais il y a des gens pour aimer la petitesse les coups mesquins..la superficialité.. les discours creux... les discours qui fonctionnent tjs sur le même procédé.. comment est ce possible de promouvoir qqn avec si peu de talent...?? avec une pauvreté de pensée auss si affligeante..
la perversité c'est d'arriver à faire croire qu'on est une lumière alors qu'on n'est qu'un trou noir massif...

Rédigé par : leo | 07/05/2007 à 11:56

Insultes, diffamations, ça continue...La gauche s'est déjà déshonnorée dans cette campagne en usant de la calomnie, du mensonge et des procès d'intention, elle pourrait au moins avoir un reste de fierté pour reconnaitre humblement (terme inconnu de la gauche?) sa défaite, et la jouer profil bas. Mais non, on ne se refait pas; et comme la gauche n'a pas de conscience, de morale, et surtout aucune humilité, elle continue dans l'insulte primaire, dernière arme minable d'un parti de gauche qui pense que le pouvoir lui est dû, et qui est hystérique que les français ne lui ait pas donné.
Les français ont décidé, et les Royalistes fanatiques du PS refusent le choix du peuple; belle preuve de respect de la démocratie par la gauche...

Rédigé par : Marc | 07/05/2007 à 11:59

Arretons d'être gentil, soyons vrais face à la mondialisation. L'Europe n'est qu'un pion sur l'échiquier international et certainement pas la "reine". Tout au plus un "fou" qui s'est laissé prendre de vitesse par son inadaptation. A vous lire, nous manquons de narcissisme et de perversité pour nous en sortie au risque de nous lamenter entre nous façe au péril jaune et d'accuser les autres de notre siutation. Le train est en marche il est grand temps de monter dans le wagon dont la porte est encore ouverte. C'est le narcisisme à la Française, dont vos voisins Européens ne veulent plus. Nous payons tous la note aujourdhui. La ou le socialisme à supprimé la misère, il a instauré la médiocrité.

Rédigé par : PIET AGORE | 07/05/2007 à 12:02

Petite leçon de démocratie:la Royal perverse narcisique et ses complices de gauche.
Les français ont élu Sarkozy, et ont majoritairement désavoué Royal; Sarkozy est donc le nouveau Président, démocratiquement élu, Président de tous les français, ceux de gauche inclus. C'est la démocratie, le choix des urnes, et tout refus de ce résultat par la gauche est de fait un déni de démocratie, donc une attitude anti-démocratique. La gauche se mord la queue, elle ne sait plus où elle en est, elle se pense démocrate tout en étant dans la pratique fascisante; entre socialisme et nationalisme socialisme, il y'a une proximité historique plus que sémantique. La gauche me fait pitié.

Rédigé par : Pierre | 07/05/2007 à 12:12

@PIET AGORE
"La ou le socialisme à supprimé la misère"
Je ne voulais pas le croire maintenant, mais avec ce témoignage de négationnisme social, je n'ai plus désormais aucun doutes: la france a bel et bien franchi la ligne brune! Et ce n'est même pas de la diffamation, il suffit de lire les Sarkozyste. Continuez donc, messieurs, je note tout, et dans 5 ans je vous renverrai vos points Godwin! Et comme ça commence déjà, vous ne serez pas déçus.

Rédigé par : Kalixte | 07/05/2007 à 12:14

Cet individu tellement exécrable ! je n'ai qu'une envie : prendre sa défense. Il a tant de qualités qu'on lui envie et ses défauts sont tellements les nôtres, qu'on lui fait porter !
Un peu de romantisme : être l'avocat du Diable , ou rien ! Chateaubriand n'a qu'à bien se tenir.

On s'ennuyait entre papa et maman ici : changeons d'air apologie de moi, moi, ego , à bas la repentance : faire une faute est la première faute, la regretter est la deuxième.

Voilà que la psychologie inventerait le diable, à son tour ! ah, ça jamais !

Rédigé par : jcm | 07/05/2007 à 12:16

Ceux de qui la conduite offre le plus à rire sont toujours sur autrui les premiers à médire.

A méditer !!!

Rédigé par : Claudine | 07/05/2007 à 12:17

Je viens de lire les commentaire de Télémaque et Marc. Et je me dis que la politesse feinte ("Souffrez que nous ne perdions pas trop de temps avec vos foutaises"), ce doit être aussi un trait de caractère de pervers narcissique. D'ailleurs, j'ai cru entendre Sa majesté Sarkozy (je m'y mets aussi) employer cette expression lors du débat pour dire "T'as gueule, grognasse". Quant à Marc, où avez-vous lu dans l'article une remise en cause du choix du peuple. La déformation des propos est aussi un trait des pervers narcissiques. En démocratie, la lobotomisation de la minorité n'est pas automatique vous savez. Il faudra nous interner (oui je fais un parallèle avec le fascisme, ça vous fait mal non ?).

Rédigé par : Saint Georges | 07/05/2007 à 12:23

L'avis des psy converge majoritairement sur le profil du personnage et sa fait froid dans le dos. Il n'est pas question d'insulte , mais d'essayer d'ouvrir ses yeux et surtout ses oreilles.On sait bien qu'il n'y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre Vous allez prendre "le pays à bras le corps" ? dites vous, mais nous somme un certain nombre (environ 47 % des francais) à ne pas vouloir de ce corps à corps ouvrant à tous les abus et à prendre nos distance, entre autre avec une société du chacun pour soi et que le meilleurs gagne(quand aux autres qu'ils cr...) et cet état policier qui se construit insidieusement depuis quelques années et nous serons je l'espère nombreux à rester vigilants et à continuer de défendre les libertés publiques déjà mise à mal par l'ancien ministre de l'intérieur qui s'apprète aujourd'hui, à concentrer quasiment tous les pouvoirs entre ses mains

Rédigé par : JPL | 07/05/2007 à 12:25

Quand va-t-on s'intéresser enfin aux idées de M. Sarkozy et non à sa personnalité ? C'est son programme qui est dangereux, pas son égo, qui ni ni plus ni moins atrophié que les autres hommes (et femmes) politiques !
Allez la gauche, explique aux Français pourquoi la hausse de la TVA est un impot injuste ! Et pourquoi les pauvres vont encore trinquer pendant 5 (ou 10) ans ! Français, réveillez-vous bon Dieu !

Rédigé par : théo | 07/05/2007 à 12:31

JPL et St Goerges usent encore des procès d'intention; ils n'ont pas compris qu'ils ont déjà parlé, qu'ils se sont exprimés par le vote. Ils veulent encore empecher que le choix de 53% des français puissent mener sa politique. La gauche nous a bassiné de leçons de démocratie, qu'elle respecte maintenant le choix du peuple. Et s'ils pensent que le choix des urnes puissent plier devant un chantage de rue, ils se trompent lourdement.

Rédigé par : Stéphane | 07/05/2007 à 12:31

Ceux de qui la conduite offre le plus à rire sont toujours sur autrui les premiers à médire.

Rédigé par : Claudine | 07/05/2007 à 12:34

Depuis combien de temps Monsieur Sarkozy est-il au gouvernement ?

Depuis combien de temps Monsieur Sarkozy vit-il à Neuilly sur Seine ?

Depuis combien de temps Monsieur Sarkozy s'intéresse t-il à ceux qui sont sur le bas-côté de la route? et qui n'ont sûrement pas eu l'occasion ni la possibilité de voter ? Difficile lorsque l'on est sans domicile fixe de recevoir sa carte électorale...

Depuis combien de temps Monsieur Sarkozy se démène t-il pour le pouvoir, son pouvoir ?

Combien de temps lui faudra t-il pour démonter la démocratie de notre pays en bâillonnant le syndicalisme, la presse, les immigrés, les SDF, les prostituées...

Je vous pose la question Messieurs et Mesdames les 53% de démocrates ?

A propos Monsieur Sarkozy comment vont vos jardiniers ?

Rédigé par : KALI | 07/05/2007 à 12:36

Reste quelques questions, Docteur.
Si le diagnostic est correct, que peut-on attendre du personnage, et surtout, dans la grande tradition de la tragédie shakespearienne, à quoi ressemblera sa chûte ? Sûrement pas un départ paisible à la retraite, en vieux sage, après dix ans de mandat.
Pendu par les pieds à une station service par ceux-là mêmes qui l'ont élu et qu'il a déçu ?

Rédigé par : lorem ipsum | 07/05/2007 à 12:36

Franchement, Monsieur Hefez, votre article, ainsi que vos "situations cliniques" sont simplement ridicules. La critique des hommes et femmes politiques est trop facile...
Et il faudra bien, à Libé comme chez ses "concurrents", relever le débat et arrêter ce type de niaiseries, dont même un journal satirique ne voudrait pas...

Rédigé par : PerversPépère | 07/05/2007 à 12:36

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Date: 2015-12-11; view: 972


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